Hannah Arendt (1906-1975) est considérée comme l'une des plus grandes philosophes du XXe siècle. On compte parmi ses grands textes Les Origines du totalitarisme, L'Humaine Condition et, plus récemment, Ecrits juifs.
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- Nombre de pages571
- PrésentationBroché
- Poids0.415 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 2,3 cm
- ISBN2-13-054845-8
- EAN9782130548454
- Date de parution09/02/2005
- CollectionQuadrige. Grands textes
- ÉditeurPUF
- TraducteurLucienne Lotringer
Résumé
" Le problème du bien et du mal, la faculté de distinguer ce qui est bien de ce qui est mal, seraient-ils en rapport avec notre faculté de penser ?... La question impossible à éluder était celle-ci : l'activité de penser en elle-même, l'habitude d'examiner tout ce qui vient à se produire ou attire l'attention, cette activité donc, fait-elle partie des conditions qui poussent l'homme à éviter le mal et même le conditionne négativement à son égard ? " Publiés après sa mort, ces textes consacrés à La vie de l'esprit sont, pour Hannah Arendt, un retour à la philosophie pure. Ils constituent son testament philosophique, une élaboration éthique de sa vision de l'histoire et du politique. Des trois parties initiales, seules les deux premières furent rédigées : La pensée, La volonté. La troisième partie, Le jugement, ne comporte que des extraits de conférences sur la philosophie politique de Kant, ébauches préparatoires d'un travail qu'elle envisageait plus court que les deux précédents.
" Le problème du bien et du mal, la faculté de distinguer ce qui est bien de ce qui est mal, seraient-ils en rapport avec notre faculté de penser ?... La question impossible à éluder était celle-ci : l'activité de penser en elle-même, l'habitude d'examiner tout ce qui vient à se produire ou attire l'attention, cette activité donc, fait-elle partie des conditions qui poussent l'homme à éviter le mal et même le conditionne négativement à son égard ? " Publiés après sa mort, ces textes consacrés à La vie de l'esprit sont, pour Hannah Arendt, un retour à la philosophie pure. Ils constituent son testament philosophique, une élaboration éthique de sa vision de l'histoire et du politique. Des trois parties initiales, seules les deux premières furent rédigées : La pensée, La volonté. La troisième partie, Le jugement, ne comporte que des extraits de conférences sur la philosophie politique de Kant, ébauches préparatoires d'un travail qu'elle envisageait plus court que les deux précédents.