La trace du vent

Par : Maurice Benhamou
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  • Nombre de pages163
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN2-7475-7795-3
  • EAN9782747577953
  • Date de parution01/12/2004
  • CollectionEcritures
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un homme médite sur la mort de sa femme, un homme laisse son regard errer sur les espaces lumineux des toiles de maîtres accrochées à ses murs, un homme écrit : " Ce qui m'agite, ce ne sont pas des mots creux. Non seulement tu n'as pas perdu toute existence, mais cette existence que tu n'es plus là pour retenir ensemble se répand au contraire. Elle déborde. Elle colore le monde. Elle infuse la vie.
Liée au vide ? Sans doute. Mais ce qui est vide l'essentiel le remplit. " Ainsi se met en marche l'opération alchimique par laquelle " le vide insupportable ", le " zéro négatif " puisse devenir " zéro positif ", " blanc " où se recueille et rayonne l'essence de l'être aimé. Opération alchimique où ces peintres amis que furent, entre autres, Jean Degottex, Lars Fredrikson, Brion Gysin, jouent le rôle de l'essence mercurielle nécessaire au grand œuvre.
Ne furent-ils pas, en effet, chacun selon sa manière propre à la recherche de " l'espace immatériel ", du " vide de plénitude " dans lequel la mort ne s'oppose plus à la vie, où toute lourdeur s'efface en légèreté - trace du vent - et devient fleurissement de couleur, " là où l'on est sûr que l'œuvre ne fera pas poussière, qu'elle ne pèsera jamais ". Comme l'amour.
Un homme médite sur la mort de sa femme, un homme laisse son regard errer sur les espaces lumineux des toiles de maîtres accrochées à ses murs, un homme écrit : " Ce qui m'agite, ce ne sont pas des mots creux. Non seulement tu n'as pas perdu toute existence, mais cette existence que tu n'es plus là pour retenir ensemble se répand au contraire. Elle déborde. Elle colore le monde. Elle infuse la vie.
Liée au vide ? Sans doute. Mais ce qui est vide l'essentiel le remplit. " Ainsi se met en marche l'opération alchimique par laquelle " le vide insupportable ", le " zéro négatif " puisse devenir " zéro positif ", " blanc " où se recueille et rayonne l'essence de l'être aimé. Opération alchimique où ces peintres amis que furent, entre autres, Jean Degottex, Lars Fredrikson, Brion Gysin, jouent le rôle de l'essence mercurielle nécessaire au grand œuvre.
Ne furent-ils pas, en effet, chacun selon sa manière propre à la recherche de " l'espace immatériel ", du " vide de plénitude " dans lequel la mort ne s'oppose plus à la vie, où toute lourdeur s'efface en légèreté - trace du vent - et devient fleurissement de couleur, " là où l'on est sûr que l'œuvre ne fera pas poussière, qu'elle ne pèsera jamais ". Comme l'amour.
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