La Trace du papillon. Pages d'un journal (été 2006-été 2007)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions11,5 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7427-8264-2
- EAN9782742782642
- Date de parution01/04/2009
- CollectionMondes arabes
- ÉditeurActes Sud
- TraducteurElias Sanbar
Résumé
Cet ouvrage, le dernier publié du vivant de Mahmoud Darwich, rassemble une centaine de textes courts, en vers ou en prose, écrits au fil des jours sans plan préconçu ni la moindre restriction thématique. Ainsi y trouve-t-on des réflexions à caractère politique, toujours décapantes, et des pensées intimes sur le temps qui passe ou sur l'exil intérieur, mais aussi un éloge du vin ou de la voix d'Oum Kalsoum, des poèmes d'amour, la description d'un arbre ou d'un fruit, les échos d'une conversation à Paris ou le récit d'une rencontre en Espagne, et surtout, de bout en bout, le pressentiment d'une prochaine disparition. Au sommet de son art, Mahmoud Darwich trace des pistes, pose des jalons, nous dit à chaque page de son journal qu'il a encore tant de choses à nous dire - et dont nous ne connaîtrons que les quelques poèmes, sublimes, qu'il a eu le temps d'écrire ou d'achever durant la dernière année de sa vie.
Cet ouvrage, le dernier publié du vivant de Mahmoud Darwich, rassemble une centaine de textes courts, en vers ou en prose, écrits au fil des jours sans plan préconçu ni la moindre restriction thématique. Ainsi y trouve-t-on des réflexions à caractère politique, toujours décapantes, et des pensées intimes sur le temps qui passe ou sur l'exil intérieur, mais aussi un éloge du vin ou de la voix d'Oum Kalsoum, des poèmes d'amour, la description d'un arbre ou d'un fruit, les échos d'une conversation à Paris ou le récit d'une rencontre en Espagne, et surtout, de bout en bout, le pressentiment d'une prochaine disparition. Au sommet de son art, Mahmoud Darwich trace des pistes, pose des jalons, nous dit à chaque page de son journal qu'il a encore tant de choses à nous dire - et dont nous ne connaîtrons que les quelques poèmes, sublimes, qu'il a eu le temps d'écrire ou d'achever durant la dernière année de sa vie.