La science des pauvres. Traité de la richesse mortelle

Par : Jacques Fradin

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  • Nombre de pages377
  • PrésentationBroché
  • Poids0.555 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-7475-9712-1
  • EAN9782747597128
  • Date de parution16/02/2006
  • CollectionNous, les sans-philosophie
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Comment redonner des couleurs à ce qui se nomme encore sciences "sociales" (ou "humaines", philosophiques de toute manière) ? Comment ramener à la vie ces dites sciences, aujourd'hui appareillées, académisées, dogmatisées, transformées en manuels-de-catéchismes, voire en outils savants de propagande, finalement inféodées aux petits robber barons industrialistes et à leur état "féodal-impérial" ? Comment remettre en mouvement la puissance critique (que contient la science, "nécessairement") ? Hors des rets de l'Etat (éco)-Nomiste, hors du service officiel de l'agrégation. Une nouvelle science radicalement démocratique [an-archique], voilà ce qui doit être introduit. Ces prolégomènes constituent une tentative de création d'une science nouvelle du social ou de l'économie, depuis le Réel (de) Pauvreté - science (du) Pauvre. Ces prolégomènes peuvent aussi être envisagés comme la perlaboration, longue & lente, du plus ancien projet de science sociale unifiée, science selon (et pour) l'homme-réel, le Pauvre, soit dire encore une éthique, éthique (de la) démocratie illimitée. Ce projet, qui sera également dit non-marxiste, repris de plusieurs manières depuis un siècle et demi, n'est finalement devenu praticable ("oeuvrable") que grâce à la création de la Non Philosophie, grâce aux avancées créatives les plus audacieuses, les avancées non-philosophiques de la science radicale, de la science non-marxiste - non-éthique. Science radicale critique, depuis le réel (de) Pauvreté, de la richesse mortelle.
Comment redonner des couleurs à ce qui se nomme encore sciences "sociales" (ou "humaines", philosophiques de toute manière) ? Comment ramener à la vie ces dites sciences, aujourd'hui appareillées, académisées, dogmatisées, transformées en manuels-de-catéchismes, voire en outils savants de propagande, finalement inféodées aux petits robber barons industrialistes et à leur état "féodal-impérial" ? Comment remettre en mouvement la puissance critique (que contient la science, "nécessairement") ? Hors des rets de l'Etat (éco)-Nomiste, hors du service officiel de l'agrégation. Une nouvelle science radicalement démocratique [an-archique], voilà ce qui doit être introduit. Ces prolégomènes constituent une tentative de création d'une science nouvelle du social ou de l'économie, depuis le Réel (de) Pauvreté - science (du) Pauvre. Ces prolégomènes peuvent aussi être envisagés comme la perlaboration, longue & lente, du plus ancien projet de science sociale unifiée, science selon (et pour) l'homme-réel, le Pauvre, soit dire encore une éthique, éthique (de la) démocratie illimitée. Ce projet, qui sera également dit non-marxiste, repris de plusieurs manières depuis un siècle et demi, n'est finalement devenu praticable ("oeuvrable") que grâce à la création de la Non Philosophie, grâce aux avancées créatives les plus audacieuses, les avancées non-philosophiques de la science radicale, de la science non-marxiste - non-éthique. Science radicale critique, depuis le réel (de) Pauvreté, de la richesse mortelle.