La Saison des papillons noirs

Par : Priscilla Morris
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-7529-1411-8
  • EAN9782752914118
  • Date de parution13/03/2025
  • ÉditeurPhébus (Editions)
  • TraducteurValérie Le Plouhinec

Résumé

Zora est peintre et enseignante à l'Académie des beaux-arts de Sarajevo. Au printemps 1992, face à la montée des tensions dans la toute jeune Bosnie-Herzégovine, elle demande à son mari, Franjo, d'emmener sa mère en Angleterre, où vit leur fille. Mais ce qui ne devait être qu'une séparation temporaire prend une tournure dramatique quand les premiers tirs de mortier serbes s'abattent sur la ville depuis les collines.
En quelques jours seulement, le piège se referme sur les habitants de Sarajevo, quelles que soient leurs origines. Dans l'immeuble éventré où Zora vit désormais seule, sans moyen de joindre les siens, se forme alors une communauté d'âmes qui affrontent ensemble un monde qui se désagrège... Face à la banalisation de la violence, Priscilla Morris fait un nécessaire travail de mémoire et nous offre un roman immersif, raconté à hauteur de femme, sur le plus long siège d'une capitale de l'histoire moderne.
Et nous rappelle que la vie continue, que des histoires d'amour naissent et que l'humanité demeure en des temps inhumains.
Zora est peintre et enseignante à l'Académie des beaux-arts de Sarajevo. Au printemps 1992, face à la montée des tensions dans la toute jeune Bosnie-Herzégovine, elle demande à son mari, Franjo, d'emmener sa mère en Angleterre, où vit leur fille. Mais ce qui ne devait être qu'une séparation temporaire prend une tournure dramatique quand les premiers tirs de mortier serbes s'abattent sur la ville depuis les collines.
En quelques jours seulement, le piège se referme sur les habitants de Sarajevo, quelles que soient leurs origines. Dans l'immeuble éventré où Zora vit désormais seule, sans moyen de joindre les siens, se forme alors une communauté d'âmes qui affrontent ensemble un monde qui se désagrège... Face à la banalisation de la violence, Priscilla Morris fait un nécessaire travail de mémoire et nous offre un roman immersif, raconté à hauteur de femme, sur le plus long siège d'une capitale de l'histoire moderne.
Et nous rappelle que la vie continue, que des histoires d'amour naissent et que l'humanité demeure en des temps inhumains.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Sarajevo, printemps 1992 et la guerre !
Sarajevo, printemps 1992. La Bosnie-Herzégovine est nouvellement indépendante mais sur les 3 peuples qui la constituent, les Serbes et les Croates bosniaques veulent s’allier aux Serbes et Croates voisins afin de se partager la Bosnie ! L’armée nationale bosniaque n’est pas assez forte pour défendre son territoire, malgré l’arrivée des Casques Bleus. Sarajavo va être coupé du monde et inlassablement bombardé. Zora est une artiste peintre et professeur à l’Académie des Beaux-Arts. Devant la montée de la haine et du séparatisme elle demande à son mari d’emmener sa mère en Angleterre où réside déjà leur fille. La nasse se refermera avant qu’il puisse revenir. La vie continue malgré tout avec de l’entraide et les deuils, jusqu’à ce que presque tout arrive à manquer et une partie de la ville assiégée est rasée ! Un très beau roman historique, qui présente la vie de quelques habitants d’une tour et parle de tout ce qui a pu arriver dans la vie ou dans l’esprit des habitants pris au piège ! La neige et le froid mettront à mal leur optimisme et leurs espoirs. C’est poignant, révoltant, ahurissant pour tout dire, de s’imaginer que l’on pouvait au 20ème siècle se battre entre voisins et amis qui avaient cohabité de longues années sous l’ère soviétique ! L’histoire de Zora reste dans le quotidien et les épreuves rencontrées jour après jour renforce sa résistance jusqu’à la rupture ! Aussi étrange que celui puisse paraître il y a des moments de poésie avec la peinture et les tableaux et le titre traduit bien cette présence. Le tout est très pudique et sans haine ni jugement. J’ai été très touchée par l’écriture et la traduction qui m’ont immergé avec les habitants de la Tour, de manière très superficielle bien évidemment, il est difficile d’imaginer ce qu’est réellement cette situation de guerre tant qu’on ne l’a pas vécu. Difficile de dire que j’ai eu un coup de coeur pour ce roman avec un tel sujet mais c’est pourtant le cas ! #LaSaisondespapillonsnoirs #NetGalleyFrance
Sarajevo, printemps 1992. La Bosnie-Herzégovine est nouvellement indépendante mais sur les 3 peuples qui la constituent, les Serbes et les Croates bosniaques veulent s’allier aux Serbes et Croates voisins afin de se partager la Bosnie ! L’armée nationale bosniaque n’est pas assez forte pour défendre son territoire, malgré l’arrivée des Casques Bleus. Sarajavo va être coupé du monde et inlassablement bombardé. Zora est une artiste peintre et professeur à l’Académie des Beaux-Arts. Devant la montée de la haine et du séparatisme elle demande à son mari d’emmener sa mère en Angleterre où réside déjà leur fille. La nasse se refermera avant qu’il puisse revenir. La vie continue malgré tout avec de l’entraide et les deuils, jusqu’à ce que presque tout arrive à manquer et une partie de la ville assiégée est rasée ! Un très beau roman historique, qui présente la vie de quelques habitants d’une tour et parle de tout ce qui a pu arriver dans la vie ou dans l’esprit des habitants pris au piège ! La neige et le froid mettront à mal leur optimisme et leurs espoirs. C’est poignant, révoltant, ahurissant pour tout dire, de s’imaginer que l’on pouvait au 20ème siècle se battre entre voisins et amis qui avaient cohabité de longues années sous l’ère soviétique ! L’histoire de Zora reste dans le quotidien et les épreuves rencontrées jour après jour renforce sa résistance jusqu’à la rupture ! Aussi étrange que celui puisse paraître il y a des moments de poésie avec la peinture et les tableaux et le titre traduit bien cette présence. Le tout est très pudique et sans haine ni jugement. J’ai été très touchée par l’écriture et la traduction qui m’ont immergé avec les habitants de la Tour, de manière très superficielle bien évidemment, il est difficile d’imaginer ce qu’est réellement cette situation de guerre tant qu’on ne l’a pas vécu. Difficile de dire que j’ai eu un coup de coeur pour ce roman avec un tel sujet mais c’est pourtant le cas ! #LaSaisondespapillonsnoirs #NetGalleyFrance
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