La Princesse et le braconnier

Par : Roald Dahl

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  • Nombre de pages86
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.085 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,9 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-07-038316-4
  • EAN9782070383160
  • Date de parution01/01/1990
  • CollectionFolio bilingue
  • ÉditeurGallimard

Résumé

La Princesse el le braconnier raconte l'histoire d'un jeune homme de basse extraction, d'une laideur telle que tout le monde fuit sa compagnie. Nulle jeune fille ne l'approche, et le garçon en souffre. Il trouve un dérivatif à ses besoins sexuels dans d'immenses promenades à travers la campagne. Au contact de la nature, il découvre un de ses dons, qui consiste à approcher sans peine les animaux les plus farouches.
Mettant à profit ce don, il devient braconnier. Mais dans le royaume (l'histoire se passe dans des temps reculés, le Moyen Âge peut-être), les lois contre le braconnage sont des plus sévères. Qu'à cela ne tienne : fort de sa seule capacité et désireux de subvenir aux besoins de ses humbles parents, Hengist s'enhardit jusqu'à braconner dans les lieux les plus interdits, les environs mêmes du château.
Un jour il y découvre la fille du roi... On devine toute l'ironie que Roald Dahl a su mettre dans ces pages. Sur un ton badin, il fustige le pouvoir exercé par l'homme dans l'ordre politique ou sexuel. L'histoire est contée avec l'habileté qu'on lui connaît. La cruelle réalité se cache dans ce petit «fabliau» plein d'un charme poétique dont la langue savoureuse évoque, avec discrétion, l'époque choisie qui pourrait être aussi la nôtre...
ou n'importe quelle autre. On retrouve cet habile mélange de la nouvelle moderne et du conte médiéval dans La Princesse Mammalia. Du jour au lendemain, la Princesse découvre dans son miroir que sa laideur s'est transformée en une beauté incomparable. Cela lui donne un pouvoir sur les hommes, dont elle ne manque pas d'user avec force dédain et cruauté. Par exemple elle déverse de temps en temps depuis le balcon, où elle s'expose honteusement à ses admirateurs libidineux, des poêlons pleins de plomb fondu afin de calmer leurs ardeurs.
Un jour elle trouve à leur place un vieillard en haillons, qui lui indique le moyen de se débarrasser de son père encombrant, dont elle veut prendre la place sur le trône tant est forte sa soif de pouvoir... Il y a, on le constate, une unité de ton entre ces deux «fables», accentuée par le style limpide de l'inimitable conteur, plein d'une trompeuse simplicité, d'une ironie féroce. Tous ces éléments sont heureusement rehaussés par des illustrations de la même verve, également cruelles, avec la même «naïveté» apparente dont Roald Dahl joue dans ses récits.
La Princesse el le braconnier raconte l'histoire d'un jeune homme de basse extraction, d'une laideur telle que tout le monde fuit sa compagnie. Nulle jeune fille ne l'approche, et le garçon en souffre. Il trouve un dérivatif à ses besoins sexuels dans d'immenses promenades à travers la campagne. Au contact de la nature, il découvre un de ses dons, qui consiste à approcher sans peine les animaux les plus farouches.
Mettant à profit ce don, il devient braconnier. Mais dans le royaume (l'histoire se passe dans des temps reculés, le Moyen Âge peut-être), les lois contre le braconnage sont des plus sévères. Qu'à cela ne tienne : fort de sa seule capacité et désireux de subvenir aux besoins de ses humbles parents, Hengist s'enhardit jusqu'à braconner dans les lieux les plus interdits, les environs mêmes du château.
Un jour il y découvre la fille du roi... On devine toute l'ironie que Roald Dahl a su mettre dans ces pages. Sur un ton badin, il fustige le pouvoir exercé par l'homme dans l'ordre politique ou sexuel. L'histoire est contée avec l'habileté qu'on lui connaît. La cruelle réalité se cache dans ce petit «fabliau» plein d'un charme poétique dont la langue savoureuse évoque, avec discrétion, l'époque choisie qui pourrait être aussi la nôtre...
ou n'importe quelle autre. On retrouve cet habile mélange de la nouvelle moderne et du conte médiéval dans La Princesse Mammalia. Du jour au lendemain, la Princesse découvre dans son miroir que sa laideur s'est transformée en une beauté incomparable. Cela lui donne un pouvoir sur les hommes, dont elle ne manque pas d'user avec force dédain et cruauté. Par exemple elle déverse de temps en temps depuis le balcon, où elle s'expose honteusement à ses admirateurs libidineux, des poêlons pleins de plomb fondu afin de calmer leurs ardeurs.
Un jour elle trouve à leur place un vieillard en haillons, qui lui indique le moyen de se débarrasser de son père encombrant, dont elle veut prendre la place sur le trône tant est forte sa soif de pouvoir... Il y a, on le constate, une unité de ton entre ces deux «fables», accentuée par le style limpide de l'inimitable conteur, plein d'une trompeuse simplicité, d'une ironie féroce. Tous ces éléments sont heureusement rehaussés par des illustrations de la même verve, également cruelles, avec la même «naïveté» apparente dont Roald Dahl joue dans ses récits.
Roald Dahl
Né en septembre 1916 à Llandaff au Pays de Galles, Roal Dahl est mort en novembre 1990 à Oxford en Angleterre. Fils de parents norvégiens, cet auteur gallois traverse une enfance et une jeunesse bien difficiles. En effet, il perd sa sœur aînée et son père en l’espace de quelques semaines alors qu’il n’a que 3 ans. Ouvrier d’une compagnie pétrolière à 17 ans, il devient ensuite pilote de chasse lors de la seconde guerre mondiale. Coopté pour inciter les américains à intervenir dans la guerre, il rencontre aux États-Unis les écrivains C.S Forester et Ian Fleming. C’est le déclic ! Roald Dahl commence la publication des œuvres pour enfants et pour adultes. Sortie pour la première fois en 1964, l’œuvre Charlie et la chocolaterie est l’un de ses plus gros succès. C’est l’histoire de Charlie Bucket, un enfant pauvre qui affectionne le chocolat. Malheureusement, il ne peut en manger qu’un seul par an à cause de la pauvreté. Cette situation va-t-elle changer quand on sait que ce dernier vit à proximité de la plus grande chocolaterie de la planète dirigée par Willy Wonka? Moi, Boy est aussi l’un de ses ouvrages à succès. Ce roman autobiographique parle de Roald Dahl. En le lisant, vous en saurez davantage sur l’enfance, la jeunesse et la vie de cet écrivain.
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