La place des bonnes. La domesticité féminine à Paris en 1900

Par : Anne Martin-Fugier

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  • Nombre de pages377
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-262-02104-X
  • EAN9782262021047
  • Date de parution03/02/2004
  • CollectionTempus
  • ÉditeurPerrin

Résumé

A la fois exploitées, confidentes, observatrices privilégiées de la vie bourgeoise, les bonnes sont indispensables à la compréhension du XIXe siècle. Elles balaient, font la cuisine, montent les seaux de charbon, vident les cuvettes et frottent l'argenterie, du matin jusqu'au soir. Elles n'ont point de vie à elles. Car ce sont les bonnes. Mais d'elles, on exige plus encore que l'accomplissement des tâches ménagères.
Il faut qu'elles soient le dévouement incarné. Car elles sont les servantes. Et si ce livre s'emploie, en détaillant leurs conditions de travail et d'existence, en décrivant les mentalités dans lesquelles elles étouffent, à dire quelle place est assignée aux bonnes par la moralité bourgeoise à la Belle Epoque, c'est dans le but d'exorciser le fantôme de la servante, qui hante encore la plupart des femmes d'aujourd'hui, lorsqu'elles rentrent à la maison.
Parisienne, docteur ès lettres, Anne Martin-Fugier a fait de la vie sociale et culturelle française au XIXe et début du XXe siècle son territoire d'historienne. Parmi la douzaine d'ouvrages publiés par elle sur ce thème : La Bourgeoise (1983), La Vie élégante ou la formation du Tout-Paris (1993), qui fut un grand succès, Comédienne, de Mlle Mars à Sarah Bernhardt (2001). Chez Perrin, elle est également l'auteur, avec Jean-Paul Martin-Fugier, d'un roman historique : Les Exils de la princesse (2002) et d'un essai à paraître : Les Salons de la République .
A la fois exploitées, confidentes, observatrices privilégiées de la vie bourgeoise, les bonnes sont indispensables à la compréhension du XIXe siècle. Elles balaient, font la cuisine, montent les seaux de charbon, vident les cuvettes et frottent l'argenterie, du matin jusqu'au soir. Elles n'ont point de vie à elles. Car ce sont les bonnes. Mais d'elles, on exige plus encore que l'accomplissement des tâches ménagères.
Il faut qu'elles soient le dévouement incarné. Car elles sont les servantes. Et si ce livre s'emploie, en détaillant leurs conditions de travail et d'existence, en décrivant les mentalités dans lesquelles elles étouffent, à dire quelle place est assignée aux bonnes par la moralité bourgeoise à la Belle Epoque, c'est dans le but d'exorciser le fantôme de la servante, qui hante encore la plupart des femmes d'aujourd'hui, lorsqu'elles rentrent à la maison.
Parisienne, docteur ès lettres, Anne Martin-Fugier a fait de la vie sociale et culturelle française au XIXe et début du XXe siècle son territoire d'historienne. Parmi la douzaine d'ouvrages publiés par elle sur ce thème : La Bourgeoise (1983), La Vie élégante ou la formation du Tout-Paris (1993), qui fut un grand succès, Comédienne, de Mlle Mars à Sarah Bernhardt (2001). Chez Perrin, elle est également l'auteur, avec Jean-Paul Martin-Fugier, d'un roman historique : Les Exils de la princesse (2002) et d'un essai à paraître : Les Salons de la République .
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