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L'humanité a atteint le stade ultime de la décadence et de la cruauté. La prochaine étape était logique : la planète est désormais aux mains de monstres sans pitié et sans conscience. Une épidémie a changé la plupart des êtres humains en créatures avides de chair et de sang. On a vite compris leur nature : ce sont des zombies. Rien n'a pu les arrêter, ni la police ni l'armée. Ils ont tout ravagé. Antoine Verney est un survivant, par hasard.
Il n'a rien d'un héros. Il se retrouve à la fois prisonnier et protégé dans un immeuble parisien, alors que dans les rues les morts-vivants pourchassent les derniers humains. Du haut de sa tour, tel Robinson sur son île, Antoine apprend à survivre et se confronte à la terreur. Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer, et qu'il a même un certain talent pour ça. C'est un double combat qu'il va devoir mener, pour s'inventer une nouvelle vie, douce et fantaisiste, et ne pas sombrer dans la folie.
La nuit a dévoré le monde
Un écrivain, lors d'une soirée où l'ennui le gagne, s'isole dans la bibliothèque, à son réveil le monde a basculé dans l'horreur. Prit dans une crise majeure où se joue rien de moins que la disparition de l'humanité, il éprouve le besoin d'écrire le journal de son expérience. Hommage aux films de Romero, l'écriture met en avant le côté introspectif ; au fil de l'écoulement des jours on voit comment la chimie de sa psychologie va être précipitée en émotions extrêmes, et parfois antagonistes.