Prix Nobel dEconomie 2008.
La mondialisation n'est pas coupable. Vertus et limites du libre - échange
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- Nombre de pages219
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.23 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,3 cm
- ISBN2-7071-3113-X
- EAN9782707131133
- Date de parution14/01/2000
- CollectionLa Découverte/Poche
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
On attribue souvent à la mondialisation des échanges nombre des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays riches serait une lutte sans merci où les moins dynamiques sont éliminés. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la " compétitivité " de l'économie nationale, on prône les recettes les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale.
Le livre de Paul R. Krugman - qui a trouvé un large public en France dès sa première publication en 1998 - balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler d'économie simplement sans trahir cette complexité, Paul Krugman dévoile aux lecteurs les arcanes du libre-échange.
La limpidité de ses essais et le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis témoignent de la réussite de son ambition.
Le livre de Paul R. Krugman - qui a trouvé un large public en France dès sa première publication en 1998 - balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler d'économie simplement sans trahir cette complexité, Paul Krugman dévoile aux lecteurs les arcanes du libre-échange.
La limpidité de ses essais et le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis témoignent de la réussite de son ambition.
On attribue souvent à la mondialisation des échanges nombre des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays riches serait une lutte sans merci où les moins dynamiques sont éliminés. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la " compétitivité " de l'économie nationale, on prône les recettes les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale.
Le livre de Paul R. Krugman - qui a trouvé un large public en France dès sa première publication en 1998 - balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler d'économie simplement sans trahir cette complexité, Paul Krugman dévoile aux lecteurs les arcanes du libre-échange.
La limpidité de ses essais et le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis témoignent de la réussite de son ambition.
Le livre de Paul R. Krugman - qui a trouvé un large public en France dès sa première publication en 1998 - balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L'économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroactifs, pas un enchaînement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu'on peut parler d'économie simplement sans trahir cette complexité, Paul Krugman dévoile aux lecteurs les arcanes du libre-échange.
La limpidité de ses essais et le succès qu'ils ont obtenu aux Etats-Unis témoignent de la réussite de son ambition.














