La modernisation du pouvoir dans l'Eglise catholique. Défi et atout pour la nouvelle évangélisation

Par : Olivier Nkulu Kabamba

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  • Nombre de pages148
  • PrésentationBroché
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-06562-5
  • EAN9782343065625
  • Date de parution01/06/2015
  • CollectionEglises d'Afrique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La modernisation du pouvoir dans l'Eglise représente un réel défi et un atout majeur pour la réussite de la nouvelle évangélisation. En décrétant universellement que l'Eglise est entrée dans l'ère de la nouvelle évangélisation, le Synode des évêques qui avait eu lieu au Vatican du 7 au 28 octobre 2012 n'avait pas manqué de souligner avec insistance que cette nouvelle évangélisation face aux nouveaux défis que vit l'humanité appelle de "nouvelles façons d'être Eglise" : "Il faut que la pratique chrétienne guide la réflexion dans un lent travail de construction d'un nouveau modèle d'être Eglise" (Lincamenta,9).
La nouvelle évangélisation, dans sa signification même, est présentée comme un vaste programme qui embrasse la vie de toute l'Eglise, "il n'existe pas de situation ecclésiale qui puisse se sentir exclue d'un tel programme" (Instrumentum Laboris, 89), la conception et l'exercice du pouvoir dans l'Eglise est donc aussi concernée par ce programme d'aggiornamento. Or, comme dit Jésus : "Personne ne coud une pièce d'étoffe neuve sur un vieux vêtement, ...
Et on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres" (Mt9, 16-17), donc pour la réussite de la nouvelle évangélisation, il faut, non seulement une volonté de changement, d'ouverture et de modernité, mais également une nouvelle manière de gouverner dans l'Eglise, une nouvelle gouvernante et un nouveau leadership, par conséquent, une nouvelle manière de concevoir et d'exercer le pouvoir. Pour Olivier Nkulu Kabamba, prêtre et théologien, la modernisation du pouvoir dans l'Eglise est donc une exigence fondamentale de la nouvelle évangélisation.
La modernisation du pouvoir dans l'Eglise représente un réel défi et un atout majeur pour la réussite de la nouvelle évangélisation. En décrétant universellement que l'Eglise est entrée dans l'ère de la nouvelle évangélisation, le Synode des évêques qui avait eu lieu au Vatican du 7 au 28 octobre 2012 n'avait pas manqué de souligner avec insistance que cette nouvelle évangélisation face aux nouveaux défis que vit l'humanité appelle de "nouvelles façons d'être Eglise" : "Il faut que la pratique chrétienne guide la réflexion dans un lent travail de construction d'un nouveau modèle d'être Eglise" (Lincamenta,9).
La nouvelle évangélisation, dans sa signification même, est présentée comme un vaste programme qui embrasse la vie de toute l'Eglise, "il n'existe pas de situation ecclésiale qui puisse se sentir exclue d'un tel programme" (Instrumentum Laboris, 89), la conception et l'exercice du pouvoir dans l'Eglise est donc aussi concernée par ce programme d'aggiornamento. Or, comme dit Jésus : "Personne ne coud une pièce d'étoffe neuve sur un vieux vêtement, ...
Et on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres" (Mt9, 16-17), donc pour la réussite de la nouvelle évangélisation, il faut, non seulement une volonté de changement, d'ouverture et de modernité, mais également une nouvelle manière de gouverner dans l'Eglise, une nouvelle gouvernante et un nouveau leadership, par conséquent, une nouvelle manière de concevoir et d'exercer le pouvoir. Pour Olivier Nkulu Kabamba, prêtre et théologien, la modernisation du pouvoir dans l'Eglise est donc une exigence fondamentale de la nouvelle évangélisation.