La maison d'os

Par : Roland Dubillard
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  • Nombre de pages172
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-07-022029-X
  • EAN9782070220298
  • Date de parution01/11/1966
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard

Résumé

"Jeudi 6 mai. Il n'y a que Paris pour ces tragédies bourgeoises. Ces jours-ci est morte, une semaine après son mari, Mme X... La maison X..., sans un capital bien connu, était une maison à chevaux, à voitures, à nombreux domestiques. La malade est morte dans son lit, sans avoir été complètement déshabillée, pendant cinq jours, par ses femmes faisant une noce d'enfer avec les domestiques dans le sous-sol ; et des sinapismes ayant été commandés par le médecin, c'est le cocher, complètement saoul, qui les lui a posés sur ses bas, oui, sur ses bas, qui n'avaient pas été retirés".
Suggéré par ce passage du Journal des Goncourt (1880), le sujet de La Maison d'os est l'agonie d'un vieillard très riche, sans famille, entouré d'une quarantaine de domestiques pour qui la question n'est pas là. [...]Le sujet n'est pas plus macabre que celui de plusieurs oeuvres classiques. Il n'empêche pas La Maison d'os de s'orienter dans le sens de la vie, voire de la rigolade. L'auteur assure n'y avoir dissimulé aucune philosophie".
Roland Dubillard.
"Jeudi 6 mai. Il n'y a que Paris pour ces tragédies bourgeoises. Ces jours-ci est morte, une semaine après son mari, Mme X... La maison X..., sans un capital bien connu, était une maison à chevaux, à voitures, à nombreux domestiques. La malade est morte dans son lit, sans avoir été complètement déshabillée, pendant cinq jours, par ses femmes faisant une noce d'enfer avec les domestiques dans le sous-sol ; et des sinapismes ayant été commandés par le médecin, c'est le cocher, complètement saoul, qui les lui a posés sur ses bas, oui, sur ses bas, qui n'avaient pas été retirés".
Suggéré par ce passage du Journal des Goncourt (1880), le sujet de La Maison d'os est l'agonie d'un vieillard très riche, sans famille, entouré d'une quarantaine de domestiques pour qui la question n'est pas là. [...]Le sujet n'est pas plus macabre que celui de plusieurs oeuvres classiques. Il n'empêche pas La Maison d'os de s'orienter dans le sens de la vie, voire de la rigolade. L'auteur assure n'y avoir dissimulé aucune philosophie".
Roland Dubillard.
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