La grande vie

Par : Jean-Pierre Martinet

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages57
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN2-916141-10-3
  • EAN9782916141107
  • Date de parution27/10/2006
  • ÉditeurArbre Vengeur
  • PréfacierEric Dussert

Résumé

" Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe "Néant". Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. " Adolphe Marlaud habite un appartement avec vue sur le cimetière qui domine la rue Froidevaux, une de ces rues où " on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui. " N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, en exil, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : " vivre le moins possible pour souffrir le moins possible.
" C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire. Jean-Pierre Martinet, l'auteur de cette longue nouvelle parue en 1979 dans " Subjectif ", est mort en 1993 : il a marqué les lecteurs, trop rares, qui ont croisé son œuvre. En attendant de redécouvrir ses textes les plus denses, cette " Grande vie " signalera aux intrépides son talent halluciné et les noirs excès de son humour désespéré.
" Je pensais souvent à ce cinéaste japonais, Ozu, qui avait fait graver ces simples mots sur sa tombe "Néant". Moi aussi je me promenais avec une telle épitaphe, mais de mon vivant. " Adolphe Marlaud habite un appartement avec vue sur le cimetière qui domine la rue Froidevaux, une de ces rues où " on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui. " N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, en exil, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : " vivre le moins possible pour souffrir le moins possible.
" C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire. Jean-Pierre Martinet, l'auteur de cette longue nouvelle parue en 1979 dans " Subjectif ", est mort en 1993 : il a marqué les lecteurs, trop rares, qui ont croisé son œuvre. En attendant de redécouvrir ses textes les plus denses, cette " Grande vie " signalera aux intrépides son talent halluciné et les noirs excès de son humour désespéré.
La grande vie
Jean-Pierre Martinet
E-book
5,99 €
La Somnolence
Jean-Pierre Martinet
Grand Format
19,00 €
La grande vie
Jean-Pierre Martinet
Poche
9,00 €
La grande vie
Jean-Pierre Martinet
Poche
6,00 €
La grande vie
Jean-Pierre Martinet
E-book
5,99 €
Capharnaüm N° 1, Eté 2010
Raymond Guérin, Eugène Dabit, Jean-Pierre Martinet, Georges Hyvernaud
Grand Format
13,00 €