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Un ultime roman comme dernière tentative avant d'abandonner le métier d'écrivain qui condense à lui seul tout le talent de l'auteur pour jouer avec nos émotions. Quatre personnages : Céleste, Monsieur, le duc de Reschwig et Rose Poussière, comme autant de figures perdues dans la ville de Rowena écrasée par le soleil d'été. Ils suivront chacun leurs trajectoires incertaines, et c'est à une perdition orchestrée à laquelle on assistera, fascinés par la beauté de ce désespoir sans faille.
Une lecture qui ne laissera personne indemne.
L'ombre des forets
Point d'espoir et de salut chez jean pierre Martinet, juste l'ébauche et l'emprise d'une langue, fulgurante et magnifique, travaillée à l'os d'existences et de solitudes rongées de désespoir, comme une boussole éclopée glissant dans les limbes d'un puits sans fond.
Un sentiment de nuits brûlées d'infini, d'errances aussi sombres qu'hypnotiques, parfois étrangement drôle et grinçant, L'Ombre des forets nous empoigne comme la métaphore malaisante d'une humanité bornée d'indifférence et d'ombres sans repères.
Un univers labyrinthique cabossé de souffrances indicibles, de dérives crépusculaires fuyant le monde,
Un texte traversé le souffle court,
Ténébreux,
Un abîme de noirceur, fascinant de style comme d'une langue, démesurément dantesque et deroutante à bien des égards, pour peu qu'on y pénètre.