La gaiété, le dernier roman de Justine Lévy est la suite logique de Mauvaise fille publiée il y a 5 ans.
Et comme Mauvaise Fille, j'ai cette sensation de mal être dérangeante en refermant la dernière page de ce court roman (20 chapitres pour un peu plus de 200 pages).
Comme pour Mauvaise Fille, je trouve que Justine Lévy mélange tout... Aborde un nombre considérable de sujets mais ne les traite que superficiellement. Quel dommage!
Il faut être en forme d'ailleurs pour ne pas se perdre tant elle se ballade entre le passé, l'actuel et ses souvenirs...
Ces longues, très longues phrases sont plus ennuyeuses qu'agréables. On ne sait jamais où elle veut en venir. Ces démonstrations se perdent dans le néant... alors qu'il y a beaucoup à dire.
Mais contrairement à Mauvaise fille, j'ai été plus sensible au style de l'auteur. C'est moins vulgaire, tout aussi triste ou incompréhensible par moment, mais aussi parfois très émouvant.
La fin du livre entre autre avec l'acceptation de la mort de sa mère, le fait de comprendre certaines choses, c'est superbement écrit. Cela donne d'autant plus de regrets! Si l'auteure est capable de cela, pourquoi ne l’utilise t elle pas sur l'ensemble du roman?
Sujets bien cernés mais vous pouvez beaucoup mieux faire jeune fille! Ce roman d'autofiction me laisse un gout d'inachevé... comme cette auteure que je ne sais pas si je la relirais.
3/5
La gaiété, le dernier roman de Justine Lévy est la suite logique de Mauvaise fille publiée il y a 5 ans.
Et comme Mauvaise Fille, j'ai cette sensation de mal être dérangeante en refermant la dernière page de ce court roman (20 chapitres pour un peu plus de 200 pages).
Comme pour Mauvaise Fille, je trouve que Justine Lévy mélange tout... Aborde un nombre considérable de sujets mais ne les traite que superficiellement. Quel dommage!
Il faut être en forme d'ailleurs pour ne pas se perdre tant elle se ballade entre le passé, l'actuel et ses souvenirs...
Ces longues, très longues phrases sont plus ennuyeuses qu'agréables. On ne sait jamais où elle veut en venir. Ces démonstrations se perdent dans le néant... alors qu'il y a beaucoup à dire.
Mais contrairement à Mauvaise fille, j'ai été plus sensible au style de l'auteur. C'est moins vulgaire, tout aussi triste ou incompréhensible par moment, mais aussi parfois très émouvant.
La fin du livre entre autre avec l'acceptation de la mort de sa mère, le fait de comprendre certaines choses, c'est superbement écrit. Cela donne d'autant plus de regrets! Si l'auteure est capable de cela, pourquoi ne l’utilise t elle pas sur l'ensemble du roman?
Sujets bien cernés mais vous pouvez beaucoup mieux faire jeune fille! Ce roman d'autofiction me laisse un gout d'inachevé... comme cette auteure que je ne sais pas si je la relirais.
3/5