La femme au serpent

Par : Claude Izner
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  • Nombre de pages318
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions12,9 cm × 19,6 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-264-06378-6
  • EAN9782264063786
  • Date de parution01/06/2017
  • CollectionPolar
  • Éditeur10/18

Résumé

Jeremy Nelson, jeune pianiste américain passionné de jazz, a traversé l'Atlantique en quête de gloire - et de ses origines. Mais dans un Londres pluvieux et tentaculaire, il ne trouve que des questions. Que cache Victor Legris, ce mystérieux libraire qui aurait connu son père ? Pourquoi semble-t-il si réticent à lui fournir des informations sur sa famille ? Débarqué dans le Paris bouillonnant de l'après-guerre, ce sont cette fois les ennuis qu'il rencontre.
Mêlé malgré lui à une série de morts étranges, il va, le premier, remarquer l'indice qui les relie : une carte postale représentant Simonetta Vespucci, modèle, entre autres, de Botticelli. Autour du cou de cette beauté de la Renaissance : un serpent. Au pied de chaque cadavre parisien : une vipère...
Jeremy Nelson, jeune pianiste américain passionné de jazz, a traversé l'Atlantique en quête de gloire - et de ses origines. Mais dans un Londres pluvieux et tentaculaire, il ne trouve que des questions. Que cache Victor Legris, ce mystérieux libraire qui aurait connu son père ? Pourquoi semble-t-il si réticent à lui fournir des informations sur sa famille ? Débarqué dans le Paris bouillonnant de l'après-guerre, ce sont cette fois les ennuis qu'il rencontre.
Mêlé malgré lui à une série de morts étranges, il va, le premier, remarquer l'indice qui les relie : une carte postale représentant Simonetta Vespucci, modèle, entre autres, de Botticelli. Autour du cou de cette beauté de la Renaissance : un serpent. Au pied de chaque cadavre parisien : une vipère...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.3/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Signé Renaissance
Le prologue se déroule pendant la Renaissance à Florence, période faste de l’art italien. Un peintre réalise le portrait de Simonetta, une femme déjà morte avant la réalisation du tableau. Puis nous rejoignons l’année 1921. Jérémy Nelson, pianiste de profession, est à Londres pour intégrer un jazz band mais cela ne se fait pas. Il se rend ensuite dans une librairie de Charing Cross Road afin de rencontrer le libraire auprès de qui il cherche des informations sur son père mais la boutique est fermée. Puis on le suit de retour à Paris où il réside. On se trouve ainsi dans l’ambiance du Paris de l’immédiat après-guerre, du début des années 20. Lors du remplacement d’un « collègue » pianiste, on transmet à Jérémy un portrait de dame du style de la Renaissance florentine (Simonetta Vespucci) représentée avec un serpent. Cette carte commence à le hanter. Il retrouve ensuite son ami et collègue mort d’une crise cardiaque. Mais il a des doutes sur les causes réelles de cette mort accidentelle. On découvre au fur et à mesure du roman les personnages et les éléments de l’intrigue en suivant le protagoniste dans son enquête. Ce roman est le fruit d’un duo de sœurs, toutes deux en lien avec le monde du spectacle, de l’art et des livres. Il s’agit du deuxième opus de leur nouvelle série de romans dans le Paris des années folles, il s’agit donc de la suite du Pas du Renard. J’ai trouvé plutôt divertissante la lecture de ce roman situé au cœur de Paris mais faisant apparaître la Florence de la Renaissance et mêlant différentes sortes d’art : la musique, la peinture et les arts du spectacle et des représentations. Même s’il ne laisse pas un souvenir impérissable, j’ai passé un bon moment de lecture.
Le prologue se déroule pendant la Renaissance à Florence, période faste de l’art italien. Un peintre réalise le portrait de Simonetta, une femme déjà morte avant la réalisation du tableau. Puis nous rejoignons l’année 1921. Jérémy Nelson, pianiste de profession, est à Londres pour intégrer un jazz band mais cela ne se fait pas. Il se rend ensuite dans une librairie de Charing Cross Road afin de rencontrer le libraire auprès de qui il cherche des informations sur son père mais la boutique est fermée. Puis on le suit de retour à Paris où il réside. On se trouve ainsi dans l’ambiance du Paris de l’immédiat après-guerre, du début des années 20. Lors du remplacement d’un « collègue » pianiste, on transmet à Jérémy un portrait de dame du style de la Renaissance florentine (Simonetta Vespucci) représentée avec un serpent. Cette carte commence à le hanter. Il retrouve ensuite son ami et collègue mort d’une crise cardiaque. Mais il a des doutes sur les causes réelles de cette mort accidentelle. On découvre au fur et à mesure du roman les personnages et les éléments de l’intrigue en suivant le protagoniste dans son enquête. Ce roman est le fruit d’un duo de sœurs, toutes deux en lien avec le monde du spectacle, de l’art et des livres. Il s’agit du deuxième opus de leur nouvelle série de romans dans le Paris des années folles, il s’agit donc de la suite du Pas du Renard. J’ai trouvé plutôt divertissante la lecture de ce roman situé au cœur de Paris mais faisant apparaître la Florence de la Renaissance et mêlant différentes sortes d’art : la musique, la peinture et les arts du spectacle et des représentations. Même s’il ne laisse pas un souvenir impérissable, j’ai passé un bon moment de lecture.
polar plaisant
Ne vous y trompez pas, la femme au serpent est bel et bien un polar d'époques. Dans ce roman , se déroulant dans le Paris des années 20 , les deux soeurs cachées dérrière le pseudonyme de Claude Izner nous entraînent à le rencontre de Jérémy, jeune pianiste sans le sou à la recherche de ses origines. Bien malgré lui, le voilà projeté au coeur d'une série de meurtres , le rapprochant toujours plus de la quête de sa famille. Avec pour seules armes , son sens de l'observation aigü et sa réflexion, il va demeler un écheveau de meurtres et mettre à jour un complot qui n'a que bien trop duré. Même si "la femme au serpent" ne renouvelle pas le genre, et n'a rien de spectaculaire, il reste un polar très plaisant à lire. Le vocabulaire, un peu suranné, et l'époque à laquelle se déroule l'histoire , lui donnent un charme certain. Les personnages foisonnants sont attachants , chacun dans son style, du voyou chapardeur des rues, au pianiste éperdu d'amour, le lecteur y trouve à s'attacher.  Une lecture agréable, pour ce petit polar d'époque sans prétention que je vous recommande.
Ne vous y trompez pas, la femme au serpent est bel et bien un polar d'époques. Dans ce roman , se déroulant dans le Paris des années 20 , les deux soeurs cachées dérrière le pseudonyme de Claude Izner nous entraînent à le rencontre de Jérémy, jeune pianiste sans le sou à la recherche de ses origines. Bien malgré lui, le voilà projeté au coeur d'une série de meurtres , le rapprochant toujours plus de la quête de sa famille. Avec pour seules armes , son sens de l'observation aigü et sa réflexion, il va demeler un écheveau de meurtres et mettre à jour un complot qui n'a que bien trop duré. Même si "la femme au serpent" ne renouvelle pas le genre, et n'a rien de spectaculaire, il reste un polar très plaisant à lire. Le vocabulaire, un peu suranné, et l'époque à laquelle se déroule l'histoire , lui donnent un charme certain. Les personnages foisonnants sont attachants , chacun dans son style, du voyou chapardeur des rues, au pianiste éperdu d'amour, le lecteur y trouve à s'attacher.  Une lecture agréable, pour ce petit polar d'époque sans prétention que je vous recommande.
meurtre en série au music-hall
Un pseudonyme pour deux sœurs qui en sont à leur 17ème roman et le personnage central n’est plus Victor Legris, quoiqu’encore présent, il cède sa place à Jeremy Nelson, jeune pianiste de jazz. Dépaysant, car le lecteur est emmené dans le Paris de 1921, aux côtés de Jeremy pianiste de jazz courant le contrat et qui entame une double quête. La première est celle de ses origines, son père qui l’a abandonné en très jeune âge et la seconde celle des meurtriers d’un ami. Et s’il s’agissait d’un meurtrier en série dont la signature serait le serpent et la carte postale laissés sur les lieux de crimes? Dans le milieu du music-hall tout n’est ni rose ni amour ni bienveillance … il en fera les frais. Quant à la reconstitution de son arbre généalogique, ça n’est pas gagné et il faut malheureusement le dire, un peu touffu pour celui qui ne prend pas de notes au cours de sa lecture. Le vocabulaire et le mode de vie de l’entre-deux-guerres nous apportent cependant une petite dose d’exotisme bien agréable.
Un pseudonyme pour deux sœurs qui en sont à leur 17ème roman et le personnage central n’est plus Victor Legris, quoiqu’encore présent, il cède sa place à Jeremy Nelson, jeune pianiste de jazz. Dépaysant, car le lecteur est emmené dans le Paris de 1921, aux côtés de Jeremy pianiste de jazz courant le contrat et qui entame une double quête. La première est celle de ses origines, son père qui l’a abandonné en très jeune âge et la seconde celle des meurtriers d’un ami. Et s’il s’agissait d’un meurtrier en série dont la signature serait le serpent et la carte postale laissés sur les lieux de crimes? Dans le milieu du music-hall tout n’est ni rose ni amour ni bienveillance … il en fera les frais. Quant à la reconstitution de son arbre généalogique, ça n’est pas gagné et il faut malheureusement le dire, un peu touffu pour celui qui ne prend pas de notes au cours de sa lecture. Le vocabulaire et le mode de vie de l’entre-deux-guerres nous apportent cependant une petite dose d’exotisme bien agréable.
  • Paris
  • meurtres en série
  • entre-deux-guerres
  • généalogie
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