La Douceur de vivre. D'une esthétique de la grâce au XVIIIe siècle
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- Nombre de pages216
- PrésentationBroché
- Poids0.296 kg
- Dimensions15,5 cm × 20,9 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-7535-1292-4
- EAN9782753512924
- Date de parution01/01/2011
- CollectionInterférences
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
Le douceur de vivre au XVIIIe siècle est un rapport privilégié au monde, un regard particulier difficile à imaginer aujourd'hui. Ce livre montre en quoi consista concrètement cette douceur de vivre et comment s'est définie l'esthétique de la grâce qui régna souverainement au XVIIIe siècle français. Il y eut en ce siècle des façons de penser le monde, de conduire son corps, de peindre les femmes, d'aménager les jardins et d'écrire des livres - toutes conduites derrière lesquelles se trouve la grâce - qui constituaient un état du bonheur.
Puis cette grâce s'éloigne lorsque le néoclassicisme devient à la fin du siècle une esthétique officielle et qu'on commence à penser la merveille dans un au-delà insaisissable.
Puis cette grâce s'éloigne lorsque le néoclassicisme devient à la fin du siècle une esthétique officielle et qu'on commence à penser la merveille dans un au-delà insaisissable.
Le douceur de vivre au XVIIIe siècle est un rapport privilégié au monde, un regard particulier difficile à imaginer aujourd'hui. Ce livre montre en quoi consista concrètement cette douceur de vivre et comment s'est définie l'esthétique de la grâce qui régna souverainement au XVIIIe siècle français. Il y eut en ce siècle des façons de penser le monde, de conduire son corps, de peindre les femmes, d'aménager les jardins et d'écrire des livres - toutes conduites derrière lesquelles se trouve la grâce - qui constituaient un état du bonheur.
Puis cette grâce s'éloigne lorsque le néoclassicisme devient à la fin du siècle une esthétique officielle et qu'on commence à penser la merveille dans un au-delà insaisissable.
Puis cette grâce s'éloigne lorsque le néoclassicisme devient à la fin du siècle une esthétique officielle et qu'on commence à penser la merveille dans un au-delà insaisissable.