La Deroute Des Marques. Comment L'Arreter ?
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions15,7 cm × 23,0 cm × 1,3 cm
- ISBN2-87880-145-8
- EAN9782878801453
- Date de parution01/11/1995
- Collectionpoints de vente
- ÉditeurLiaisons (Editions)
Résumé
Jusque dans les années 90, tout paraissait démontrer que la force des entreprises résidait dans la valeur de leurs marques et que ce phénomène était installé encore pour de longues décennies : la marque était le capital de l'entreprise.
Avec la crise de 1990 et l'évolution moderne, cette réalité semble aujourd'hui perdre de sa force. Alors que certaines marques sont exigées par le consommateur, d'autres sont en pleine déroute et on leur préfère des marques distributeurs, des premiers prix, des produits inconnus, sans image ni notoriété. Ce phénomène n'est pas dû au hasard, il s'explique.
Il est indispensable, pour l'économie libérale, de redonner de la force aux marques. Il ne s'agit plus seulement de relancer des campagnes de communication de plus en plus onéreuses, il faut complètement revoir les composantes du mix marketing, définir de nouvelles façons d'étudier les comportements des consommateurs. Il faut repenser les fondements mêmes du marketing.
La marque ne doit plus être considérée par la valeur de sa notoriété ou de son image, mais par sa capacité à répondre aux "peurs " des consommateurs. Le marketing moderne ne consiste plus à répondre aux besoins, il vise à créer des peurs pour que les marques aient un rôle et un positionnement.
Jusque dans les années 90, tout paraissait démontrer que la force des entreprises résidait dans la valeur de leurs marques et que ce phénomène était installé encore pour de longues décennies : la marque était le capital de l'entreprise.
Avec la crise de 1990 et l'évolution moderne, cette réalité semble aujourd'hui perdre de sa force. Alors que certaines marques sont exigées par le consommateur, d'autres sont en pleine déroute et on leur préfère des marques distributeurs, des premiers prix, des produits inconnus, sans image ni notoriété. Ce phénomène n'est pas dû au hasard, il s'explique.
Il est indispensable, pour l'économie libérale, de redonner de la force aux marques. Il ne s'agit plus seulement de relancer des campagnes de communication de plus en plus onéreuses, il faut complètement revoir les composantes du mix marketing, définir de nouvelles façons d'étudier les comportements des consommateurs. Il faut repenser les fondements mêmes du marketing.
La marque ne doit plus être considérée par la valeur de sa notoriété ou de son image, mais par sa capacité à répondre aux "peurs " des consommateurs. Le marketing moderne ne consiste plus à répondre aux besoins, il vise à créer des peurs pour que les marques aient un rôle et un positionnement.












