La dernière fête. Mémoires

Par : Gil Scott-Heron
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  • Nombre de pages352
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.187 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-7578-5599-7
  • EAN9782757855997
  • Date de parution16/02/2017
  • CollectionPoints
  • ÉditeurPoints
  • TraducteurStéphane Roques

Résumé

Du Tennessee au Madison Square Garden, où il chanta "The Revolution Will Not Be Televised" , Gil Scott-Heron était un homme de combats. Dans ces mémoires rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d'artistes, il évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou Stevie Wonder, qui l'embarqua dans une tournée en hommage à Martin Luther King.
Gil Scott-Heron (1949-2011) est musicien, poète et romancier. Citoyen noir américain engagé, il est considéré comme le précurseur du rap et a notamment influencé de nombreux musiciens issus du mouvement "Spoken Word" . "Ouvre d'un véritable écrivain et magicien des mots, La Dernière Fête est aussi passionnant et indispensable que les Chroniques de Bob Dylan". The New York Times Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Stéphane Roques
Du Tennessee au Madison Square Garden, où il chanta "The Revolution Will Not Be Televised" , Gil Scott-Heron était un homme de combats. Dans ces mémoires rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d'artistes, il évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou Stevie Wonder, qui l'embarqua dans une tournée en hommage à Martin Luther King.
Gil Scott-Heron (1949-2011) est musicien, poète et romancier. Citoyen noir américain engagé, il est considéré comme le précurseur du rap et a notamment influencé de nombreux musiciens issus du mouvement "Spoken Word" . "Ouvre d'un véritable écrivain et magicien des mots, La Dernière Fête est aussi passionnant et indispensable que les Chroniques de Bob Dylan". The New York Times Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Stéphane Roques

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Sébastien P. - 4Decitre Levallois-Perret
4/5
Journal d’un résistant
A l’apogée de sa carrière de chanteur, musicien, poète et écrivain dans les années 70, Gil Scott-Heron disparaît des radars dans les années 80. Il revient en 2010 avec l’album I’m New Here, incluant sa reprise envoûtante et apocalyptique de Me and the Devil, avec sa voix éraillée. En 2012, est publiée La dernière fête : Mémoires. Il n’y est pas question de sa période la plus sombre, de son addiction à l’héroïne, ni de ses séjours en prison, ou de sa séropositivité. Non, l’artiste revient sur son enfance, sa lutte au quotidien en tant qu’homme noir dans le système scolaire, ses débuts dans l’écriture et la musique, ses brèves rencontres avec Michael Jackson, Bob Marley ou Miles Davis, mais surtout celle avec Stevie Wonder qu’il accompagne en tournée. Il a d’abord voulu raconter sa vie, dans le Tennessee puis à New-York, pour souligner ensuite l’importance qu’a eu le musicien dans la création de la journée dédiée à Martin Luther King. Le fameux titre Happy Birthday de Stevie étant dédié au pasteur noir. Même si elle laisse de nombreuses zones d’ombre, que l’on éclaircira jamais, Gil mourant en 2011, cette autobiographie est une plongée fascinante dans l’Amérique des années 50 à 80, dans l’industrie musicale de l’époque et la lutte pour l’égalité de droits des noirs. Un ouvrage idéal pour découvrir cet artiste relativement peu connu en France, qui a eu une influence considérable sur ce que sera le rap, alors que le texte qu’il scandait dans son titre le plus connu est toujours d’actualité : « The revolution will not be televised, will not be televised, will not be televised, the revolution will be live. »
A l’apogée de sa carrière de chanteur, musicien, poète et écrivain dans les années 70, Gil Scott-Heron disparaît des radars dans les années 80. Il revient en 2010 avec l’album I’m New Here, incluant sa reprise envoûtante et apocalyptique de Me and the Devil, avec sa voix éraillée. En 2012, est publiée La dernière fête : Mémoires. Il n’y est pas question de sa période la plus sombre, de son addiction à l’héroïne, ni de ses séjours en prison, ou de sa séropositivité. Non, l’artiste revient sur son enfance, sa lutte au quotidien en tant qu’homme noir dans le système scolaire, ses débuts dans l’écriture et la musique, ses brèves rencontres avec Michael Jackson, Bob Marley ou Miles Davis, mais surtout celle avec Stevie Wonder qu’il accompagne en tournée. Il a d’abord voulu raconter sa vie, dans le Tennessee puis à New-York, pour souligner ensuite l’importance qu’a eu le musicien dans la création de la journée dédiée à Martin Luther King. Le fameux titre Happy Birthday de Stevie étant dédié au pasteur noir. Même si elle laisse de nombreuses zones d’ombre, que l’on éclaircira jamais, Gil mourant en 2011, cette autobiographie est une plongée fascinante dans l’Amérique des années 50 à 80, dans l’industrie musicale de l’époque et la lutte pour l’égalité de droits des noirs. Un ouvrage idéal pour découvrir cet artiste relativement peu connu en France, qui a eu une influence considérable sur ce que sera le rap, alors que le texte qu’il scandait dans son titre le plus connu est toujours d’actualité : « The revolution will not be televised, will not be televised, will not be televised, the revolution will be live. »
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