La Cuisine De Ziryab. Propos De Tables, Impressions De Voyages Et Recettes Pouvant Servir D'Initiation Pratique A La Gastronomie Arabe
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- Nombre de pages175
- PrésentationRelié
- Poids0.54 kg
- Dimensions18,1 cm × 28,6 cm × 1,9 cm
- ISBN2-7427-1884-2
- EAN9782742718849
- Date de parution23/10/1998
- ÉditeurActes Sud
Résumé
Le nom de Ziryâb, le "merle noir", parti de son Irak natal vers 820 pour s'installer à Cordoue, évoque d'emblée la grâce et l'élégance, mais aussi le perpétuel renouveau. A ce musicien de génie, on attribue la fondation de l'école andalouse et l'invention du luth à cinq cordes. Mais ce poète, qui connaissait par coeur les paroles et les airs de dix mille chansons, s'intéressa tout autant à la géographie et à l'astronomie.
Le gastronome, quant à lui, introduisit en Espagne l'asperge, promut la haute cuisine et réforma les arts de la table. Il créa en outre un véritable institut de beauté où l'on apprenait à se coiffer, se farder, se parfumer et à se vêtir selon les saisons... En signant du pseudonyme Ziryâb ses chroniques culinaires, parues d'abord dans le magazine Qantara et aujourd'hui réunies en volume, l'auteur a voulu rendre hommage à cet affranchi noir, devenu un arbitre du bon goût au même titre que Pétrone ou Brummel.
Les traditions gastronomiques arabes, aussi bien du Proche-Orient que du Maghreb, y sont abordées pour la première fois dans leur ensemble, à travers références savantes, citations littéraires, anecdotes historiques, impressions de voyage et recettes. Toutes choses qui concourent à mettre en évidence le métissage culturel dont l'Islam a été l'agent le plus actif en Méditerranée pendant au moins dix siècles.
Le gastronome, quant à lui, introduisit en Espagne l'asperge, promut la haute cuisine et réforma les arts de la table. Il créa en outre un véritable institut de beauté où l'on apprenait à se coiffer, se farder, se parfumer et à se vêtir selon les saisons... En signant du pseudonyme Ziryâb ses chroniques culinaires, parues d'abord dans le magazine Qantara et aujourd'hui réunies en volume, l'auteur a voulu rendre hommage à cet affranchi noir, devenu un arbitre du bon goût au même titre que Pétrone ou Brummel.
Les traditions gastronomiques arabes, aussi bien du Proche-Orient que du Maghreb, y sont abordées pour la première fois dans leur ensemble, à travers références savantes, citations littéraires, anecdotes historiques, impressions de voyage et recettes. Toutes choses qui concourent à mettre en évidence le métissage culturel dont l'Islam a été l'agent le plus actif en Méditerranée pendant au moins dix siècles.
Le nom de Ziryâb, le "merle noir", parti de son Irak natal vers 820 pour s'installer à Cordoue, évoque d'emblée la grâce et l'élégance, mais aussi le perpétuel renouveau. A ce musicien de génie, on attribue la fondation de l'école andalouse et l'invention du luth à cinq cordes. Mais ce poète, qui connaissait par coeur les paroles et les airs de dix mille chansons, s'intéressa tout autant à la géographie et à l'astronomie.
Le gastronome, quant à lui, introduisit en Espagne l'asperge, promut la haute cuisine et réforma les arts de la table. Il créa en outre un véritable institut de beauté où l'on apprenait à se coiffer, se farder, se parfumer et à se vêtir selon les saisons... En signant du pseudonyme Ziryâb ses chroniques culinaires, parues d'abord dans le magazine Qantara et aujourd'hui réunies en volume, l'auteur a voulu rendre hommage à cet affranchi noir, devenu un arbitre du bon goût au même titre que Pétrone ou Brummel.
Les traditions gastronomiques arabes, aussi bien du Proche-Orient que du Maghreb, y sont abordées pour la première fois dans leur ensemble, à travers références savantes, citations littéraires, anecdotes historiques, impressions de voyage et recettes. Toutes choses qui concourent à mettre en évidence le métissage culturel dont l'Islam a été l'agent le plus actif en Méditerranée pendant au moins dix siècles.
Le gastronome, quant à lui, introduisit en Espagne l'asperge, promut la haute cuisine et réforma les arts de la table. Il créa en outre un véritable institut de beauté où l'on apprenait à se coiffer, se farder, se parfumer et à se vêtir selon les saisons... En signant du pseudonyme Ziryâb ses chroniques culinaires, parues d'abord dans le magazine Qantara et aujourd'hui réunies en volume, l'auteur a voulu rendre hommage à cet affranchi noir, devenu un arbitre du bon goût au même titre que Pétrone ou Brummel.
Les traditions gastronomiques arabes, aussi bien du Proche-Orient que du Maghreb, y sont abordées pour la première fois dans leur ensemble, à travers références savantes, citations littéraires, anecdotes historiques, impressions de voyage et recettes. Toutes choses qui concourent à mettre en évidence le métissage culturel dont l'Islam a été l'agent le plus actif en Méditerranée pendant au moins dix siècles.