La crise de juillet 1914 et l'Europe
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- Nombre de pages335
- PrésentationBroché
- Poids0.505 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-917232-43-9
- EAN9782917232439
- Date de parution01/01/2016
- CollectionIntarissable
- ÉditeurSPM-Lettrage
Résumé
Les Guerres balkaniques de 1912-1913 ont redistribué la carte de l'Europe du Sud-Est, sans réussir à en apaiser les vives tensions. Considérant avec inquiétude l'agrandissement de la Serbie, l'Autriche-Hongrie est désormais décidée à ne plus rien tolérer de sa part. Au-delà de ce premier cercle, l'Europe se trouve partagée en blocs antagonistes et surarmés. Sujette à ces oppositions croissantes, le "concert européen" a manifesté d'inquiétants dysfonctionnements dans le traitement des crises balkaniques.
Il suffirait d'une étincelle pour qu'une machine infernale se mette en marche... L'attentat de Sarajevo, du 28 juin 1914 contre François-Ferdinand, l'archiduc héritier d'Autriche-Hongrie, allume la mèche. Vienne y trouve aussitôt l'occasion de régler son différend avec la Serbie. Mais cette guerre restera-t-elle limitée ? Ou bien va-t-elle s'internationaliser ? L'Allemagne, alliée de l'Autriche-Hongrie, laissera-t-elle la Russie intervenir au côté de la Serbie ? Quelle sera l'attitude de la France et de l'Angleterre, l'une et l'autre liées à la Russie par des traités ? Comment les opinions publiques réagiront-elles face à la menace de guerre ? Quelle place prendront les mouvements pacifistes et "anti-guerres" ? Une crise aussi aiguë rendra-t-elle encore tenable la neutralité des Etats ? Autant de questions auxquelles se propose de répondre cet ouvrage issu du colloque international tenu à l'Institut Catholique d'Enseignement Supérieur de La Roche-sur-Yon les 9 et 10 avril 2014 et organisé conjointement par son département d'histoire et l'UMR 8596 Roland Mousnier (CNRS / Université Paris-Sorbonne).
Il suffirait d'une étincelle pour qu'une machine infernale se mette en marche... L'attentat de Sarajevo, du 28 juin 1914 contre François-Ferdinand, l'archiduc héritier d'Autriche-Hongrie, allume la mèche. Vienne y trouve aussitôt l'occasion de régler son différend avec la Serbie. Mais cette guerre restera-t-elle limitée ? Ou bien va-t-elle s'internationaliser ? L'Allemagne, alliée de l'Autriche-Hongrie, laissera-t-elle la Russie intervenir au côté de la Serbie ? Quelle sera l'attitude de la France et de l'Angleterre, l'une et l'autre liées à la Russie par des traités ? Comment les opinions publiques réagiront-elles face à la menace de guerre ? Quelle place prendront les mouvements pacifistes et "anti-guerres" ? Une crise aussi aiguë rendra-t-elle encore tenable la neutralité des Etats ? Autant de questions auxquelles se propose de répondre cet ouvrage issu du colloque international tenu à l'Institut Catholique d'Enseignement Supérieur de La Roche-sur-Yon les 9 et 10 avril 2014 et organisé conjointement par son département d'histoire et l'UMR 8596 Roland Mousnier (CNRS / Université Paris-Sorbonne).
Les Guerres balkaniques de 1912-1913 ont redistribué la carte de l'Europe du Sud-Est, sans réussir à en apaiser les vives tensions. Considérant avec inquiétude l'agrandissement de la Serbie, l'Autriche-Hongrie est désormais décidée à ne plus rien tolérer de sa part. Au-delà de ce premier cercle, l'Europe se trouve partagée en blocs antagonistes et surarmés. Sujette à ces oppositions croissantes, le "concert européen" a manifesté d'inquiétants dysfonctionnements dans le traitement des crises balkaniques.
Il suffirait d'une étincelle pour qu'une machine infernale se mette en marche... L'attentat de Sarajevo, du 28 juin 1914 contre François-Ferdinand, l'archiduc héritier d'Autriche-Hongrie, allume la mèche. Vienne y trouve aussitôt l'occasion de régler son différend avec la Serbie. Mais cette guerre restera-t-elle limitée ? Ou bien va-t-elle s'internationaliser ? L'Allemagne, alliée de l'Autriche-Hongrie, laissera-t-elle la Russie intervenir au côté de la Serbie ? Quelle sera l'attitude de la France et de l'Angleterre, l'une et l'autre liées à la Russie par des traités ? Comment les opinions publiques réagiront-elles face à la menace de guerre ? Quelle place prendront les mouvements pacifistes et "anti-guerres" ? Une crise aussi aiguë rendra-t-elle encore tenable la neutralité des Etats ? Autant de questions auxquelles se propose de répondre cet ouvrage issu du colloque international tenu à l'Institut Catholique d'Enseignement Supérieur de La Roche-sur-Yon les 9 et 10 avril 2014 et organisé conjointement par son département d'histoire et l'UMR 8596 Roland Mousnier (CNRS / Université Paris-Sorbonne).
Il suffirait d'une étincelle pour qu'une machine infernale se mette en marche... L'attentat de Sarajevo, du 28 juin 1914 contre François-Ferdinand, l'archiduc héritier d'Autriche-Hongrie, allume la mèche. Vienne y trouve aussitôt l'occasion de régler son différend avec la Serbie. Mais cette guerre restera-t-elle limitée ? Ou bien va-t-elle s'internationaliser ? L'Allemagne, alliée de l'Autriche-Hongrie, laissera-t-elle la Russie intervenir au côté de la Serbie ? Quelle sera l'attitude de la France et de l'Angleterre, l'une et l'autre liées à la Russie par des traités ? Comment les opinions publiques réagiront-elles face à la menace de guerre ? Quelle place prendront les mouvements pacifistes et "anti-guerres" ? Une crise aussi aiguë rendra-t-elle encore tenable la neutralité des Etats ? Autant de questions auxquelles se propose de répondre cet ouvrage issu du colloque international tenu à l'Institut Catholique d'Enseignement Supérieur de La Roche-sur-Yon les 9 et 10 avril 2014 et organisé conjointement par son département d'histoire et l'UMR 8596 Roland Mousnier (CNRS / Université Paris-Sorbonne).