La Cour européenne des droits de l'homme et la Turquie
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- Nombre de pages304
- PrésentationBroché
- Poids0.46 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-336-30269-0
- EAN9782336302690
- Date de parution01/07/2015
- CollectionComprendre le Moyen-Orient
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le contentieux turc a donné lieu à plusieurs milliers de constats de violations, lesquels ont engagé la Turquie sur le chemin des réformes par l'adoption des mesures préconisées par la Cour européenne des droits de l'homme et conformément à la nature des violations constatées. Dans ce contexte, la Turquie est tenue d'apporter une réparation individuelle et générale au service de la prévention de la répétition de violations semblables et de la réparation des préjudices subis par les victimes.
S'il est vrai que son obligation d'exécution des arrêts est tributaire essentiellement de sa ratification de la CEDH, force est de constater que cet engagement se trouve renforcé par le fait que la Turquie tente d'adhérer à l'Union européenne depuis plusieurs décennies déjà. C'est ainsi que son obligation d'exécution se concrétise par la mise en oeuvre de moyens ayant pour objectif de diminuer les constats de violation prononcés à son encontre.
De plus, ces multiples condamnations ne font que ternir l'image de la Turquie sur la scène internationale et leur diminution apparaît comme étant l'occasion de redorer son blason et de réaffirmer son image d'Etat auprès de la communauté internationale. Néanmoins, sa pratique d'ensemble relative à l'exécution des arrêts de la Cour EDH est loin de lui servir. Au contraire, sa réputation de mauvais élève en matière du respect des droits de l'homme s'accentue de par son attitude notamment envers certaines libertés fondamentales, comme la liberté d'expression ou la liberté de la presse, et par conséquent, l'exécution des arrêts demeure un sujet préoccupant pour cet Etat sous certains aspects.
S'il est vrai que son obligation d'exécution des arrêts est tributaire essentiellement de sa ratification de la CEDH, force est de constater que cet engagement se trouve renforcé par le fait que la Turquie tente d'adhérer à l'Union européenne depuis plusieurs décennies déjà. C'est ainsi que son obligation d'exécution se concrétise par la mise en oeuvre de moyens ayant pour objectif de diminuer les constats de violation prononcés à son encontre.
De plus, ces multiples condamnations ne font que ternir l'image de la Turquie sur la scène internationale et leur diminution apparaît comme étant l'occasion de redorer son blason et de réaffirmer son image d'Etat auprès de la communauté internationale. Néanmoins, sa pratique d'ensemble relative à l'exécution des arrêts de la Cour EDH est loin de lui servir. Au contraire, sa réputation de mauvais élève en matière du respect des droits de l'homme s'accentue de par son attitude notamment envers certaines libertés fondamentales, comme la liberté d'expression ou la liberté de la presse, et par conséquent, l'exécution des arrêts demeure un sujet préoccupant pour cet Etat sous certains aspects.
Le contentieux turc a donné lieu à plusieurs milliers de constats de violations, lesquels ont engagé la Turquie sur le chemin des réformes par l'adoption des mesures préconisées par la Cour européenne des droits de l'homme et conformément à la nature des violations constatées. Dans ce contexte, la Turquie est tenue d'apporter une réparation individuelle et générale au service de la prévention de la répétition de violations semblables et de la réparation des préjudices subis par les victimes.
S'il est vrai que son obligation d'exécution des arrêts est tributaire essentiellement de sa ratification de la CEDH, force est de constater que cet engagement se trouve renforcé par le fait que la Turquie tente d'adhérer à l'Union européenne depuis plusieurs décennies déjà. C'est ainsi que son obligation d'exécution se concrétise par la mise en oeuvre de moyens ayant pour objectif de diminuer les constats de violation prononcés à son encontre.
De plus, ces multiples condamnations ne font que ternir l'image de la Turquie sur la scène internationale et leur diminution apparaît comme étant l'occasion de redorer son blason et de réaffirmer son image d'Etat auprès de la communauté internationale. Néanmoins, sa pratique d'ensemble relative à l'exécution des arrêts de la Cour EDH est loin de lui servir. Au contraire, sa réputation de mauvais élève en matière du respect des droits de l'homme s'accentue de par son attitude notamment envers certaines libertés fondamentales, comme la liberté d'expression ou la liberté de la presse, et par conséquent, l'exécution des arrêts demeure un sujet préoccupant pour cet Etat sous certains aspects.
S'il est vrai que son obligation d'exécution des arrêts est tributaire essentiellement de sa ratification de la CEDH, force est de constater que cet engagement se trouve renforcé par le fait que la Turquie tente d'adhérer à l'Union européenne depuis plusieurs décennies déjà. C'est ainsi que son obligation d'exécution se concrétise par la mise en oeuvre de moyens ayant pour objectif de diminuer les constats de violation prononcés à son encontre.
De plus, ces multiples condamnations ne font que ternir l'image de la Turquie sur la scène internationale et leur diminution apparaît comme étant l'occasion de redorer son blason et de réaffirmer son image d'Etat auprès de la communauté internationale. Néanmoins, sa pratique d'ensemble relative à l'exécution des arrêts de la Cour EDH est loin de lui servir. Au contraire, sa réputation de mauvais élève en matière du respect des droits de l'homme s'accentue de par son attitude notamment envers certaines libertés fondamentales, comme la liberté d'expression ou la liberté de la presse, et par conséquent, l'exécution des arrêts demeure un sujet préoccupant pour cet Etat sous certains aspects.