La Correspondance de Fradique Mendes

Par : José Maria Eça de Queiroz
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  • Nombre de pages333
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.364 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7291-2075-7
  • EAN9782729120757
  • Date de parution06/02/2014
  • CollectionLittérature étrangère
  • ÉditeurLa Différence
  • TraducteurMarie-Hélène Piwnik

Résumé

Publié à titre posthume en 1900, La Correspondance de Fradique Mendes avait paru en livraisons éparses à partir de 1888 dans de grands journaux de Rio de Janeiro et de Lisbonne. Les lettres à des correspondants fictifs, signées Fradique, étaient précédées de la biographie tout aussi imaginaire de cet élégant et paradoxal dandy, prétendument rédigée après sa mort par son meilleur ami. II y a donc un jeu plus que troublant entre le personnage, son supposé biographe, et Eça de Queiroz lui-même, qui a conduit récemment certains critiques à y voir des figures du double, et même, déjà, de l'hétéronymie.
On s'amuse en tout cas beaucoup à suivre ce dilettante très fin de siècle dans ses pittoresques aventures, à Paris ou à Lisbonne, ou encore au Caire... Ses lettres, brillantes et enjouées, complètent le tableau offenbachien d'une société cosmopolite au seuil du XXe siècle : chroniques légères, marivaudage, portraits au vitriol de "types" balzaciens, ou saynètes aussi cruelles qu'hilarantes, elles dénoncent déjà les abus du progrès, les ridicules de la politique, les ravages d'une presse partisane, ou les hypocrisies religieuses.
La Correspondance de Fradique Mendes, d'une stupéfiante modernité et d'une irrésistible drôlerie, est à inscrire parmi les grandes ouvres du XIXe siècle.
Publié à titre posthume en 1900, La Correspondance de Fradique Mendes avait paru en livraisons éparses à partir de 1888 dans de grands journaux de Rio de Janeiro et de Lisbonne. Les lettres à des correspondants fictifs, signées Fradique, étaient précédées de la biographie tout aussi imaginaire de cet élégant et paradoxal dandy, prétendument rédigée après sa mort par son meilleur ami. II y a donc un jeu plus que troublant entre le personnage, son supposé biographe, et Eça de Queiroz lui-même, qui a conduit récemment certains critiques à y voir des figures du double, et même, déjà, de l'hétéronymie.
On s'amuse en tout cas beaucoup à suivre ce dilettante très fin de siècle dans ses pittoresques aventures, à Paris ou à Lisbonne, ou encore au Caire... Ses lettres, brillantes et enjouées, complètent le tableau offenbachien d'une société cosmopolite au seuil du XXe siècle : chroniques légères, marivaudage, portraits au vitriol de "types" balzaciens, ou saynètes aussi cruelles qu'hilarantes, elles dénoncent déjà les abus du progrès, les ridicules de la politique, les ravages d'une presse partisane, ou les hypocrisies religieuses.
La Correspondance de Fradique Mendes, d'une stupéfiante modernité et d'une irrésistible drôlerie, est à inscrire parmi les grandes ouvres du XIXe siècle.
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