Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 524, Boèce, ministre du roi ostrogoth Théodoric, est incarcéré à Pavie sous l'inculpation de conspiration et de magie. Rude épreuve pour ce scientifique...
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En 524, Boèce, ministre du roi ostrogoth Théodoric, est incarcéré à Pavie sous l'inculpation de conspiration et de magie. Rude épreuve pour ce scientifique et philosophe, qui s'est donnée pour tâche de transmettre à l'Occident chrétien les trésors de la pensée grecque. Accablé par ce revers de fortune, il rédige, en prison, son œuvre la plus connue, dans laquelle il se met en scène, dialoguant avec le personnage allégorique de Philosophie, qui le réconforte en lui démontrant combien sont vaines les valeurs mondaines, et enrichissante l'aspiration à l'élévation de l'âme par la sagesse. Cette Consolation de la Philosophie fut l'œuvre à succès du Moyen Age. Elle fut traduite par Jean de Meun, l'auteur du Roman de la Rose, à l'extrême fin du XIIIe siècle, puis remaniée et commentée à plusieurs reprises. C'est l'une de ces versions glosées que nous présentons à partir du manuscrit Leber 817 de la Bibliothèque Municipale de Rouen, manuscrit qui date de la fin du Moyen Age. Ce manuscrit est un luxueux in-quarto superbement calligraphié et somptueusement illustré, dont les miniatures sont reproduites sur le CD-ROM qui accompagne cette édition commentée.