La bataille des Ardennes. 16 décembre 1944-31 janvier 1945
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
- ISBN979-10-210-0374-3
- EAN9791021003743
- Date de parution12/10/2013
- CollectionL'histoire en batailles
- ÉditeurTallandier
- CartographeFlorence Bonnaud
Résumé
Le 16 décembre 1944, à l’aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler lance trois armées, dont deux de Panzers, sur les Ardennes belges et le Nord du Grand-Duché de Luxembourg. Les objectifs de l’opération "Wacht am Rhein" ("Garde au Rhin") sont clairs : foncer vers l’Ouest et franchir la Meuse, s’emparer du port d’Anvers et avancer jusqu’à Bruxelles. Alors, espèrent les Nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-saxons.
Mais le déséquilibre des forces engagées et les conditions météorologiques défavorables aux Alliés qui ne peuvent compter dans un premier temps sur leur aviation ne les empêchent pas de freiner la progression des Allemands. Les forces d’Hitler sont peu à peu sont repoussés. Le 30 janvier 1945, les Allemands sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu plus de 85 000 hommes, 600 chars et des centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
De leur côté, les Anglo-Américains ont perdu plus de 90 000 hommes, 800 chars et plusieurs centaines d’avions. La bataille des Ardennes fut le théâtre de combats extrêmement rudes. Elle fournit la matière d’une passionnante étude de l’expérience combattante sur le front Ouest au tournant des années 1944 et 1945. Faut-il céder et se rendre ou bien tenir coûte que coûte ? Pourquoi combattre et avec quels moyens ? Comment contre-attaquer pour, finalement, vaincre ?
Mais le déséquilibre des forces engagées et les conditions météorologiques défavorables aux Alliés qui ne peuvent compter dans un premier temps sur leur aviation ne les empêchent pas de freiner la progression des Allemands. Les forces d’Hitler sont peu à peu sont repoussés. Le 30 janvier 1945, les Allemands sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu plus de 85 000 hommes, 600 chars et des centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
De leur côté, les Anglo-Américains ont perdu plus de 90 000 hommes, 800 chars et plusieurs centaines d’avions. La bataille des Ardennes fut le théâtre de combats extrêmement rudes. Elle fournit la matière d’une passionnante étude de l’expérience combattante sur le front Ouest au tournant des années 1944 et 1945. Faut-il céder et se rendre ou bien tenir coûte que coûte ? Pourquoi combattre et avec quels moyens ? Comment contre-attaquer pour, finalement, vaincre ?
Le 16 décembre 1944, à l’aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler lance trois armées, dont deux de Panzers, sur les Ardennes belges et le Nord du Grand-Duché de Luxembourg. Les objectifs de l’opération "Wacht am Rhein" ("Garde au Rhin") sont clairs : foncer vers l’Ouest et franchir la Meuse, s’emparer du port d’Anvers et avancer jusqu’à Bruxelles. Alors, espèrent les Nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-saxons.
Mais le déséquilibre des forces engagées et les conditions météorologiques défavorables aux Alliés qui ne peuvent compter dans un premier temps sur leur aviation ne les empêchent pas de freiner la progression des Allemands. Les forces d’Hitler sont peu à peu sont repoussés. Le 30 janvier 1945, les Allemands sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu plus de 85 000 hommes, 600 chars et des centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
De leur côté, les Anglo-Américains ont perdu plus de 90 000 hommes, 800 chars et plusieurs centaines d’avions. La bataille des Ardennes fut le théâtre de combats extrêmement rudes. Elle fournit la matière d’une passionnante étude de l’expérience combattante sur le front Ouest au tournant des années 1944 et 1945. Faut-il céder et se rendre ou bien tenir coûte que coûte ? Pourquoi combattre et avec quels moyens ? Comment contre-attaquer pour, finalement, vaincre ?
Mais le déséquilibre des forces engagées et les conditions météorologiques défavorables aux Alliés qui ne peuvent compter dans un premier temps sur leur aviation ne les empêchent pas de freiner la progression des Allemands. Les forces d’Hitler sont peu à peu sont repoussés. Le 30 janvier 1945, les Allemands sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu plus de 85 000 hommes, 600 chars et des centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
De leur côté, les Anglo-Américains ont perdu plus de 90 000 hommes, 800 chars et plusieurs centaines d’avions. La bataille des Ardennes fut le théâtre de combats extrêmement rudes. Elle fournit la matière d’une passionnante étude de l’expérience combattante sur le front Ouest au tournant des années 1944 et 1945. Faut-il céder et se rendre ou bien tenir coûte que coûte ? Pourquoi combattre et avec quels moyens ? Comment contre-attaquer pour, finalement, vaincre ?