La Banalite Du Massacre
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- Nombre de pages79
- PrésentationBroché
- Poids0.095 kg
- Dimensions10,0 cm × 19,0 cm × 0,8 cm
- ISBN2-7427-3287-X
- EAN9782742732876
- Date de parution22/05/2001
- ÉditeurActes Sud
Résumé
"Quelle que soit son ampleur, aucun massacre ne peut en recouvrir un autre. Le seul massacre exemplaire est toujours le suivant, irréversible et nécessaire." Lettre de Paul Cézanne à Félix Klein et autres textes. Les mots de Maurice Matieu traversent des siècles de pensée pour donner les moyens à des logiques parallèles ou contradictoires de se confronter, se croiser, s'adopter. Paul Cézanne, le peintre, et Félix Klein, le mathématicien, nouent une relation épistolaire qui donne lieu à une suite de réflexions, d'arguments, de principes, tous la conséquence de cette rencontre entre la peinture et les mathématiques. La suite de Fibonacci, la perspective euclidienne, la vision anthropomorphique du plan, l'idéologie de l'ordre du plan, le sujet, l'esthétisme, la tension conceptuelle sont autant de points que Maurice Matieu ordonne et désordonne. La peinture et l'écriture se concentrent vers un point sans jamais pouvoir s'y rencontrer, celui où le plan et le texte ne feraient qu'un.
"Quelle que soit son ampleur, aucun massacre ne peut en recouvrir un autre. Le seul massacre exemplaire est toujours le suivant, irréversible et nécessaire." Lettre de Paul Cézanne à Félix Klein et autres textes. Les mots de Maurice Matieu traversent des siècles de pensée pour donner les moyens à des logiques parallèles ou contradictoires de se confronter, se croiser, s'adopter. Paul Cézanne, le peintre, et Félix Klein, le mathématicien, nouent une relation épistolaire qui donne lieu à une suite de réflexions, d'arguments, de principes, tous la conséquence de cette rencontre entre la peinture et les mathématiques. La suite de Fibonacci, la perspective euclidienne, la vision anthropomorphique du plan, l'idéologie de l'ordre du plan, le sujet, l'esthétisme, la tension conceptuelle sont autant de points que Maurice Matieu ordonne et désordonne. La peinture et l'écriture se concentrent vers un point sans jamais pouvoir s'y rencontrer, celui où le plan et le texte ne feraient qu'un.