L'universalisme ou le pari de la raison. Anthropologie, histoire, psychologie
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- Nombre de pages340
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.446 kg
- Dimensions15,3 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-02-107674-5
- EAN9782021076745
- Date de parution17/01/2013
- CollectionHautes études
- ÉditeurCoédition EHESS/Gallimard/Seuil
Résumé
Ce livre ne propose pas un état des lieux de l’anthropologie mais un ensemble de réflexions portant sur son projet de savoir, et sur son mode de connaître. Il le fait à partir de questions qui ont souvent une longue histoire derrière elles, mais susceptibles d’être aujourd’hui posées à nouveaux frais : celle des rapports entre anthropologie et histoire ; celle des liens entre connaissance et observation directe ; celle, épineuse, de l’interprétation, à partir de l’opposition consacrée entre comprendre et expliquer.
La particularité de l’ouvrage de Gérard Lenclud est de rassembler et de mettre en perspective des points de vue et des raisonnements puisés à diverses sources : l’anthropologie, bien sûr, puisque c’est d’elle qu’il est parti, l’histoire à coup sûr, y compris l’histoire des sciences, mais aussi la philosophie, philosophie de l’histoire et des sciences sociales, épistémologie descriptive, philosophie d’inspiration analytique, sciences cognitives.
Ce qui lui permet de mettre le doigt sur des enjeux disciplinaires fondamentaux : à l’heure où certaines disciplines tendent à célébrer leur spécificité, la proximité de leurs projets de savoir ne doit-elle pas être davantage mise en valeur que leur différence de méthode ? Mais aussi des enjeux « politiques » au sens large : si le relativisme culturel connaît, dans le grand public, un regain de faveur, comment se garder d’un relativisme de la vérité et de la raison ?
La particularité de l’ouvrage de Gérard Lenclud est de rassembler et de mettre en perspective des points de vue et des raisonnements puisés à diverses sources : l’anthropologie, bien sûr, puisque c’est d’elle qu’il est parti, l’histoire à coup sûr, y compris l’histoire des sciences, mais aussi la philosophie, philosophie de l’histoire et des sciences sociales, épistémologie descriptive, philosophie d’inspiration analytique, sciences cognitives.
Ce qui lui permet de mettre le doigt sur des enjeux disciplinaires fondamentaux : à l’heure où certaines disciplines tendent à célébrer leur spécificité, la proximité de leurs projets de savoir ne doit-elle pas être davantage mise en valeur que leur différence de méthode ? Mais aussi des enjeux « politiques » au sens large : si le relativisme culturel connaît, dans le grand public, un regain de faveur, comment se garder d’un relativisme de la vérité et de la raison ?
Ce livre ne propose pas un état des lieux de l’anthropologie mais un ensemble de réflexions portant sur son projet de savoir, et sur son mode de connaître. Il le fait à partir de questions qui ont souvent une longue histoire derrière elles, mais susceptibles d’être aujourd’hui posées à nouveaux frais : celle des rapports entre anthropologie et histoire ; celle des liens entre connaissance et observation directe ; celle, épineuse, de l’interprétation, à partir de l’opposition consacrée entre comprendre et expliquer.
La particularité de l’ouvrage de Gérard Lenclud est de rassembler et de mettre en perspective des points de vue et des raisonnements puisés à diverses sources : l’anthropologie, bien sûr, puisque c’est d’elle qu’il est parti, l’histoire à coup sûr, y compris l’histoire des sciences, mais aussi la philosophie, philosophie de l’histoire et des sciences sociales, épistémologie descriptive, philosophie d’inspiration analytique, sciences cognitives.
Ce qui lui permet de mettre le doigt sur des enjeux disciplinaires fondamentaux : à l’heure où certaines disciplines tendent à célébrer leur spécificité, la proximité de leurs projets de savoir ne doit-elle pas être davantage mise en valeur que leur différence de méthode ? Mais aussi des enjeux « politiques » au sens large : si le relativisme culturel connaît, dans le grand public, un regain de faveur, comment se garder d’un relativisme de la vérité et de la raison ?
La particularité de l’ouvrage de Gérard Lenclud est de rassembler et de mettre en perspective des points de vue et des raisonnements puisés à diverses sources : l’anthropologie, bien sûr, puisque c’est d’elle qu’il est parti, l’histoire à coup sûr, y compris l’histoire des sciences, mais aussi la philosophie, philosophie de l’histoire et des sciences sociales, épistémologie descriptive, philosophie d’inspiration analytique, sciences cognitives.
Ce qui lui permet de mettre le doigt sur des enjeux disciplinaires fondamentaux : à l’heure où certaines disciplines tendent à célébrer leur spécificité, la proximité de leurs projets de savoir ne doit-elle pas être davantage mise en valeur que leur différence de méthode ? Mais aussi des enjeux « politiques » au sens large : si le relativisme culturel connaît, dans le grand public, un regain de faveur, comment se garder d’un relativisme de la vérité et de la raison ?







