L'oiseau et le poisson. Cohabitations religieuses dans les mondes grec et romain
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- Nombre de pages408
- PrésentationBroché
- Poids0.675 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-84050-800-7
- EAN9782840508007
- Date de parution01/12/2011
- CollectionReligions dans l'Histoire
- ÉditeurPU Paris-Sorbonne
Résumé
Devinette : Si un oiseau et un poisson tombent amoureux, où iront-ils construire leur nid ? La multitude et diversité des variables qui tissent la trame des situations de contacts et de cohabitations dans les sociétés rendent chaque situation unique, par-delà des schémas de construction et des procédés repérables invariants. À tout le moins, toute cohabitation génère une mise en regard qui débouche sur des développements variés, neutres ou conviviaux jusqu'à compétitifs, voire conflictuels.
Mais la focalisation de la discipline historique sur les situations de crise et de ruptures a plutôt mis en avant les situations de confrontation et de conflit, sans compter avec l'historiographie longtemps dominante du "triomphe du christianisme" dans le "combat" entre païens et chrétiens. Cet ouvrage présente trois originalités. Traversant les frontières chronologiques (du monde hellénistique au monde romain tardif) et disciplinaires entre cultures religieuses, il applique la même grille d'analyse à toutes les situations (polythéistes et monothéistes).
Il fait dialoguer toutes les sources de façon à s'approcher de la réalité dans sa dimension dynamique et kaléidoscopique, aux dépens des affichages idéologiques. Moins que de rechercher les éléments de "compromis" entre dévots d'obédiences différentes, il examine comment des identités différentes vivaient ensemble, puisque tel fut le cas le plus courant dans un Empire romain multiculturel. Le propos se déploie en quatre parties.
Il présente d'abord des situations complexes de rencontres à la fin de l'Empire et par quels langages, littéraires ou iconographiques, ces rencontres sont revendiquées ou bien révélées. Le volume se clôt sur des réflexions de méthode, qui précisent les outils par lesquels on peut aborder les zones de contact ou de recouvrement.
Mais la focalisation de la discipline historique sur les situations de crise et de ruptures a plutôt mis en avant les situations de confrontation et de conflit, sans compter avec l'historiographie longtemps dominante du "triomphe du christianisme" dans le "combat" entre païens et chrétiens. Cet ouvrage présente trois originalités. Traversant les frontières chronologiques (du monde hellénistique au monde romain tardif) et disciplinaires entre cultures religieuses, il applique la même grille d'analyse à toutes les situations (polythéistes et monothéistes).
Il fait dialoguer toutes les sources de façon à s'approcher de la réalité dans sa dimension dynamique et kaléidoscopique, aux dépens des affichages idéologiques. Moins que de rechercher les éléments de "compromis" entre dévots d'obédiences différentes, il examine comment des identités différentes vivaient ensemble, puisque tel fut le cas le plus courant dans un Empire romain multiculturel. Le propos se déploie en quatre parties.
Il présente d'abord des situations complexes de rencontres à la fin de l'Empire et par quels langages, littéraires ou iconographiques, ces rencontres sont revendiquées ou bien révélées. Le volume se clôt sur des réflexions de méthode, qui précisent les outils par lesquels on peut aborder les zones de contact ou de recouvrement.
Devinette : Si un oiseau et un poisson tombent amoureux, où iront-ils construire leur nid ? La multitude et diversité des variables qui tissent la trame des situations de contacts et de cohabitations dans les sociétés rendent chaque situation unique, par-delà des schémas de construction et des procédés repérables invariants. À tout le moins, toute cohabitation génère une mise en regard qui débouche sur des développements variés, neutres ou conviviaux jusqu'à compétitifs, voire conflictuels.
Mais la focalisation de la discipline historique sur les situations de crise et de ruptures a plutôt mis en avant les situations de confrontation et de conflit, sans compter avec l'historiographie longtemps dominante du "triomphe du christianisme" dans le "combat" entre païens et chrétiens. Cet ouvrage présente trois originalités. Traversant les frontières chronologiques (du monde hellénistique au monde romain tardif) et disciplinaires entre cultures religieuses, il applique la même grille d'analyse à toutes les situations (polythéistes et monothéistes).
Il fait dialoguer toutes les sources de façon à s'approcher de la réalité dans sa dimension dynamique et kaléidoscopique, aux dépens des affichages idéologiques. Moins que de rechercher les éléments de "compromis" entre dévots d'obédiences différentes, il examine comment des identités différentes vivaient ensemble, puisque tel fut le cas le plus courant dans un Empire romain multiculturel. Le propos se déploie en quatre parties.
Il présente d'abord des situations complexes de rencontres à la fin de l'Empire et par quels langages, littéraires ou iconographiques, ces rencontres sont revendiquées ou bien révélées. Le volume se clôt sur des réflexions de méthode, qui précisent les outils par lesquels on peut aborder les zones de contact ou de recouvrement.
Mais la focalisation de la discipline historique sur les situations de crise et de ruptures a plutôt mis en avant les situations de confrontation et de conflit, sans compter avec l'historiographie longtemps dominante du "triomphe du christianisme" dans le "combat" entre païens et chrétiens. Cet ouvrage présente trois originalités. Traversant les frontières chronologiques (du monde hellénistique au monde romain tardif) et disciplinaires entre cultures religieuses, il applique la même grille d'analyse à toutes les situations (polythéistes et monothéistes).
Il fait dialoguer toutes les sources de façon à s'approcher de la réalité dans sa dimension dynamique et kaléidoscopique, aux dépens des affichages idéologiques. Moins que de rechercher les éléments de "compromis" entre dévots d'obédiences différentes, il examine comment des identités différentes vivaient ensemble, puisque tel fut le cas le plus courant dans un Empire romain multiculturel. Le propos se déploie en quatre parties.
Il présente d'abord des situations complexes de rencontres à la fin de l'Empire et par quels langages, littéraires ou iconographiques, ces rencontres sont revendiquées ou bien révélées. Le volume se clôt sur des réflexions de méthode, qui précisent les outils par lesquels on peut aborder les zones de contact ou de recouvrement.