L'oeil qui jouit
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,1 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-87340-308-9
- EAN9782873403089
- Date de parution04/06/2012
- CollectionCôté cinéma
- ÉditeurYellow now
- PréfacierDominique Païni
Résumé
Ecrire sur le cinéma est une activité dont j'ai longtemps
simplement rêvé la possibilité avant de passer à l'acte. Les
écrits réunis ici représentent une petite partie d'un travail
d'écriture qui s'est étalé sur une vingtaine d'années. Des textes
de toutes origines s'y côtoient, de la critique pure à la
présentation de programmations pour la Cinémathèque en
passant par des articles destinés à des revues ou des ouvrages
collectifs.
Il ne faut pas forcément chercher dans les choix effectués la synthèse exemplaire et cohérente d'un goût cinéphilique particulier. Beaucoup de noms manquent à l'appel même s'il était inimaginable qu'il n'y ait pas au moins quelque chose sur Jean Renoir, le seul cinéaste qui m'ait "appris à vivre". Sinon, il était peut-être important que soit visible cette contradiction (mais en est-ce une?) qui mélange un goût hérité de la lecture, très jeune, des Cahiers du cinéma, dans le désordre et toutes périodes confondues, avec une appétence pour des formes dites mineures ou marginales, les chefs- d'oeuvre estampillés avec le cinéma dit bis, le théorique et le tripal.
Un résidu d'enfance guidé par un pur principe de plaisir ? Peut-être. Et puis renouveler à l'infini le geste cinéphilique d'ennoblir un mauvais objet ne se refuse pas. Finalement, si programmer des films c'est écrire une histoire du cinéma, écrire c'est aussi programmer son propre goût.
Il ne faut pas forcément chercher dans les choix effectués la synthèse exemplaire et cohérente d'un goût cinéphilique particulier. Beaucoup de noms manquent à l'appel même s'il était inimaginable qu'il n'y ait pas au moins quelque chose sur Jean Renoir, le seul cinéaste qui m'ait "appris à vivre". Sinon, il était peut-être important que soit visible cette contradiction (mais en est-ce une?) qui mélange un goût hérité de la lecture, très jeune, des Cahiers du cinéma, dans le désordre et toutes périodes confondues, avec une appétence pour des formes dites mineures ou marginales, les chefs- d'oeuvre estampillés avec le cinéma dit bis, le théorique et le tripal.
Un résidu d'enfance guidé par un pur principe de plaisir ? Peut-être. Et puis renouveler à l'infini le geste cinéphilique d'ennoblir un mauvais objet ne se refuse pas. Finalement, si programmer des films c'est écrire une histoire du cinéma, écrire c'est aussi programmer son propre goût.
Ecrire sur le cinéma est une activité dont j'ai longtemps
simplement rêvé la possibilité avant de passer à l'acte. Les
écrits réunis ici représentent une petite partie d'un travail
d'écriture qui s'est étalé sur une vingtaine d'années. Des textes
de toutes origines s'y côtoient, de la critique pure à la
présentation de programmations pour la Cinémathèque en
passant par des articles destinés à des revues ou des ouvrages
collectifs.
Il ne faut pas forcément chercher dans les choix effectués la synthèse exemplaire et cohérente d'un goût cinéphilique particulier. Beaucoup de noms manquent à l'appel même s'il était inimaginable qu'il n'y ait pas au moins quelque chose sur Jean Renoir, le seul cinéaste qui m'ait "appris à vivre". Sinon, il était peut-être important que soit visible cette contradiction (mais en est-ce une?) qui mélange un goût hérité de la lecture, très jeune, des Cahiers du cinéma, dans le désordre et toutes périodes confondues, avec une appétence pour des formes dites mineures ou marginales, les chefs- d'oeuvre estampillés avec le cinéma dit bis, le théorique et le tripal.
Un résidu d'enfance guidé par un pur principe de plaisir ? Peut-être. Et puis renouveler à l'infini le geste cinéphilique d'ennoblir un mauvais objet ne se refuse pas. Finalement, si programmer des films c'est écrire une histoire du cinéma, écrire c'est aussi programmer son propre goût.
Il ne faut pas forcément chercher dans les choix effectués la synthèse exemplaire et cohérente d'un goût cinéphilique particulier. Beaucoup de noms manquent à l'appel même s'il était inimaginable qu'il n'y ait pas au moins quelque chose sur Jean Renoir, le seul cinéaste qui m'ait "appris à vivre". Sinon, il était peut-être important que soit visible cette contradiction (mais en est-ce une?) qui mélange un goût hérité de la lecture, très jeune, des Cahiers du cinéma, dans le désordre et toutes périodes confondues, avec une appétence pour des formes dites mineures ou marginales, les chefs- d'oeuvre estampillés avec le cinéma dit bis, le théorique et le tripal.
Un résidu d'enfance guidé par un pur principe de plaisir ? Peut-être. Et puis renouveler à l'infini le geste cinéphilique d'ennoblir un mauvais objet ne se refuse pas. Finalement, si programmer des films c'est écrire une histoire du cinéma, écrire c'est aussi programmer son propre goût.