L'itinéraire intérieur de Guillaume de Saint-Thierry
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- Nombre de pages202
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.323 kg
- Dimensions15,2 cm × 23,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-204-13291-6
- EAN9782204132916
- Date de parution24/04/2019
- CollectionCerf-Patrimoines
- ÉditeurCerf
Résumé
Dans la littérature monastique du XIIe siècle qui clôt l'ère patristique, il y a deux admirables traités sur la foi chrétienne : Le Miroir de la foi et L'Enigme de la foi que Guillaume, alors simple moine de l'abbaye cistercienne de Signy, publia en 1143 pour répondre à certaines propositions étranges de Pierre Abélard. Si le premier se déploie selon la manière ancienne, latine ou grecque, de confesser la Trinité ou l'Excès de Dieu, le second se confronte à la théologie trinitaire plus tardive d'Augustin.
Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Ecritures, le nom du Fils éternel de Dieu est " le Seigneur Jésus ", dont l 'Esprit est donné à l'Eglise comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance.
Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Ecritures, le nom du Fils éternel de Dieu est " le Seigneur Jésus ", dont l 'Esprit est donné à l'Eglise comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance.
Dans la littérature monastique du XIIe siècle qui clôt l'ère patristique, il y a deux admirables traités sur la foi chrétienne : Le Miroir de la foi et L'Enigme de la foi que Guillaume, alors simple moine de l'abbaye cistercienne de Signy, publia en 1143 pour répondre à certaines propositions étranges de Pierre Abélard. Si le premier se déploie selon la manière ancienne, latine ou grecque, de confesser la Trinité ou l'Excès de Dieu, le second se confronte à la théologie trinitaire plus tardive d'Augustin.
Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Ecritures, le nom du Fils éternel de Dieu est " le Seigneur Jésus ", dont l 'Esprit est donné à l'Eglise comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance.
Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Ecritures, le nom du Fils éternel de Dieu est " le Seigneur Jésus ", dont l 'Esprit est donné à l'Eglise comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance.