L'itinéraire Géorgien de l'avant-garde

Par : Maïa Varsimashvili-Raphael

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  • Nombre de pages241
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.395 kg
  • Dimensions15,3 cm × 23,7 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-343-18712-9
  • EAN9782343187129
  • Date de parution29/11/2019
  • CollectionHistoires et idées des Arts
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierGiovanni Lista

Résumé

Phénomène complexe et hétérogène, allant du futurisme au surréalisme, s'étendant de l'Italie à la Russie, en passant par Paris, Berlin ou Zurich, l'avant-garde écrit une des pages de son histoire en Géorgie. Dans les années 1910-1920, Tbilissi, capitale géorgienne, devient le creuset de différents mouvements littéraires et artistiques, d'idées politiques, de styles, de cultures, de langues. C'est dans ce "babélisme" que l'avantgarde se plaît et s'épanouit.
La mobilité des personnes, les transferts des modèles artistiques et esthétiques jouent un rôle de catalyseur dans son éclosion. Néanmoins, il serait malaisé d'ignorer le rôle de la culture géorgienne, au travers de laquelle cette avant-garde construit sa propre notion de modernité et met en valeur ses particularités. L'avant-garde refuse de se réduire à l'autonomie acquise par l'art au XIXe siècle et se veut porteuse d'un projet social.
Cette nouvelle sensibilité nourrit le rêve révolutionnaire des arts géorgiens et ses expérimentations hardies, avant qu'il ne se brise contre une machine totalitaire.
Phénomène complexe et hétérogène, allant du futurisme au surréalisme, s'étendant de l'Italie à la Russie, en passant par Paris, Berlin ou Zurich, l'avant-garde écrit une des pages de son histoire en Géorgie. Dans les années 1910-1920, Tbilissi, capitale géorgienne, devient le creuset de différents mouvements littéraires et artistiques, d'idées politiques, de styles, de cultures, de langues. C'est dans ce "babélisme" que l'avantgarde se plaît et s'épanouit.
La mobilité des personnes, les transferts des modèles artistiques et esthétiques jouent un rôle de catalyseur dans son éclosion. Néanmoins, il serait malaisé d'ignorer le rôle de la culture géorgienne, au travers de laquelle cette avant-garde construit sa propre notion de modernité et met en valeur ses particularités. L'avant-garde refuse de se réduire à l'autonomie acquise par l'art au XIXe siècle et se veut porteuse d'un projet social.
Cette nouvelle sensibilité nourrit le rêve révolutionnaire des arts géorgiens et ses expérimentations hardies, avant qu'il ne se brise contre une machine totalitaire.
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