L'instabilité politique de l'Amérique latine. Le cas bolivien
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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- Poids0.495 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7384-0987-3
- EAN9782738409874
- Date de parution01/10/1998
- CollectionRecherches Document Espagne
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFrançois Bourricaud
Résumé
La Bolivie est le pays d'Amérique latine qui a connu les périodes les plus longues d'instabilité politique et sociale depuis la Seconde Guerre mondiale. Afin d'expliquer les raisons de cette instabilité, Jean-Pierre Lavaud analyse avec finesse la mobilisation des groupes sociaux qui, d'une manière plus ou moins directe et déterminante, influencent le jeu politique national et concourent aux changements gouvernementaux : la classe politique, tant civile que militaire, les gestionnaires du travail collectif, mais aussi les mineurs et les paysans. A cette concurrence nationale pour le pouvoir, il faut ajouter celle d'agences étrangères, principalement nord-américaines. Au terme de l'analyse, il apparaît que des secteurs importants de la société civile se trouvent être si dépendants de l'Etat qu'il est vital pour eux de les contrôler : les luttes croisées qui en résultent entretiennent l'instabilité... Au-delà du cas bolivien, c'est un remarquable modèle d'explication du phénomène d'instabilité politique de l'Amérique latine que nous propose ici Jean-Pierre Lavaud.
La Bolivie est le pays d'Amérique latine qui a connu les périodes les plus longues d'instabilité politique et sociale depuis la Seconde Guerre mondiale. Afin d'expliquer les raisons de cette instabilité, Jean-Pierre Lavaud analyse avec finesse la mobilisation des groupes sociaux qui, d'une manière plus ou moins directe et déterminante, influencent le jeu politique national et concourent aux changements gouvernementaux : la classe politique, tant civile que militaire, les gestionnaires du travail collectif, mais aussi les mineurs et les paysans. A cette concurrence nationale pour le pouvoir, il faut ajouter celle d'agences étrangères, principalement nord-américaines. Au terme de l'analyse, il apparaît que des secteurs importants de la société civile se trouvent être si dépendants de l'Etat qu'il est vital pour eux de les contrôler : les luttes croisées qui en résultent entretiennent l'instabilité... Au-delà du cas bolivien, c'est un remarquable modèle d'explication du phénomène d'instabilité politique de l'Amérique latine que nous propose ici Jean-Pierre Lavaud.