Voilà une saga que plusieurs personnes m’avaient recommandée, alors que j’étais à la recherche de bons romans policiers. Un auteur dont je n’avais jamais entendu parler et qui semblait pourtant être un incontournable pour beaucoup. Malgré quelques longueurs, j’ai tout de suite été emportée sur cette île sombre de l’Écosse aux côtés de Fin.
De prime abord, l’histoire est tout ce qu’il y a de plus traditionnel : un meurtre oblige Fin à retourner dans son village d’enfance pour mener l’enquête. Mais très vite, l’histoire du personnage prend le pas sur l’enquête, qu’on finit presque par perdre de vue. Fin est bien sûr à la recherche du coupable, mais il va surtout nous raconter son enfance sur cette île. Ces histoires dans l’histoire sont émouvantes, amusantes ou intrigantes ; j’ai adoré découvrir ces flash-back qui mettent en scène un petit Fin de cinq ans qui grandit au fil des pages. Notre héros va également retrouver tout ce petit monde qu’il avait quitté et c’est là que les révélations vont commencer à tomber… Finalement, on comprend vite que l’histoire et l’enquête sont presque indissociables l’une de l’autre.
Le principal reproche que j’ai à faire concerne les longueurs : certains passages ou descriptions m’ont semblé interminables. Alors parfois le temps se fait long, mais à d’autres moments, on ne veut plus du tout reposer le livre, ce qui traduit une certaine inconstance dans la tension du roman. L’atmosphère prend parfois plus de place que l’intrigue et le roman s’essouffle.
Une fois n’est pas coutume, la fin ne m’a pas déplu et je ne me doutais pas de l’identité du coupable, bien que la chute ne soit pas renversante et que le suspense n’aie jamais atteint son paroxysme. L’intrigue n’est pas haletante, mais il s’agit d’un bon roman noir avec une ambiance particulière, qui fait parfois penser à un huis clos, coincés que nous sommes sur cette petite île aux mœurs et religions dépassées. Pour moi, c’est une très agréable découverte, dans un coin du monde que je n’avais encore jamais rencontré en littérature, avec ses rivages brumeux et ses prénoms gaéliques.
Voilà une saga que plusieurs personnes m’avaient recommandée, alors que j’étais à la recherche de bons romans policiers. Un auteur dont je n’avais jamais entendu parler et qui semblait pourtant être un incontournable pour beaucoup. Malgré quelques longueurs, j’ai tout de suite été emportée sur cette île sombre de l’Écosse aux côtés de Fin.
De prime abord, l’histoire est tout ce qu’il y a de plus traditionnel : un meurtre oblige Fin à retourner dans son village d’enfance pour mener l’enquête. Mais très vite, l’histoire du personnage prend le pas sur l’enquête, qu’on finit presque par perdre de vue. Fin est bien sûr à la recherche du coupable, mais il va surtout nous raconter son enfance sur cette île. Ces histoires dans l’histoire sont émouvantes, amusantes ou intrigantes ; j’ai adoré découvrir ces flash-back qui mettent en scène un petit Fin de cinq ans qui grandit au fil des pages. Notre héros va également retrouver tout ce petit monde qu’il avait quitté et c’est là que les révélations vont commencer à tomber… Finalement, on comprend vite que l’histoire et l’enquête sont presque indissociables l’une de l’autre.
Le principal reproche que j’ai à faire concerne les longueurs : certains passages ou descriptions m’ont semblé interminables. Alors parfois le temps se fait long, mais à d’autres moments, on ne veut plus du tout reposer le livre, ce qui traduit une certaine inconstance dans la tension du roman. L’atmosphère prend parfois plus de place que l’intrigue et le roman s’essouffle.
Une fois n’est pas coutume, la fin ne m’a pas déplu et je ne me doutais pas de l’identité du coupable, bien que la chute ne soit pas renversante et que le suspense n’aie jamais atteint son paroxysme. L’intrigue n’est pas haletante, mais il s’agit d’un bon roman noir avec une ambiance particulière, qui fait parfois penser à un huis clos, coincés que nous sommes sur cette petite île aux mœurs et religions dépassées. Pour moi, c’est une très agréable découverte, dans un coin du monde que je n’avais encore jamais rencontré en littérature, avec ses rivages brumeux et ses prénoms gaéliques.