L'idéalisme dans l'infinitésimal. Weyl et l'espace à l'époque de la relativité

Par : Julien Bernard

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages342
  • PrésentationBroché
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions13,9 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84016-131-8
  • EAN9782840161318
  • Date de parution24/08/2013
  • ÉditeurPU Paris Ouest

Résumé

De 1917 à 1923, Hermann Weyl s'implique prioritairement dans la réflexion sur les fondements de la théorie de la relativité générale et de la géométrie différentielle. Sa pensée sur l'espace est riche de multiples motifs philosophiques dont le texte d'Espace-Temps-Matière nous fournit une admirable synthèse. Comprendre l'unité de la pensée philosophique de Weyl sur l'espace demande de résoudre un conflit entre deux entités aux traits radicalement différents ; il s'agit, d'un côté, de l'espace mathématique, et de l'autre, du champ métrique dynamique issu des travaux d'Einstein.
Comment Weyl peut-il défendre à la fois la position idéaliste d'un espace comme forme de notre intuition, nécessairement homogène, et l'idée einsteinienne d'une métrique hétérogène qui ne peut être fixée a priori, mais qui doit s'adapter dynamiquement à l'évolution de la distribution de matière dans l'espace ?
De 1917 à 1923, Hermann Weyl s'implique prioritairement dans la réflexion sur les fondements de la théorie de la relativité générale et de la géométrie différentielle. Sa pensée sur l'espace est riche de multiples motifs philosophiques dont le texte d'Espace-Temps-Matière nous fournit une admirable synthèse. Comprendre l'unité de la pensée philosophique de Weyl sur l'espace demande de résoudre un conflit entre deux entités aux traits radicalement différents ; il s'agit, d'un côté, de l'espace mathématique, et de l'autre, du champ métrique dynamique issu des travaux d'Einstein.
Comment Weyl peut-il défendre à la fois la position idéaliste d'un espace comme forme de notre intuition, nécessairement homogène, et l'idée einsteinienne d'une métrique hétérogène qui ne peut être fixée a priori, mais qui doit s'adapter dynamiquement à l'évolution de la distribution de matière dans l'espace ?