L'Idéalisme allemand et la religion

Par : Philippe Soual, Miklos Vetö

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  • Nombre de pages262
  • PrésentationBroché
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-296-05664-0
  • EAN9782296056640
  • Date de parution01/04/2008
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'idéalisme allemand est une philosophie enracinée dans la problématique religieuse. C'est Kant qui en inaugure la réflexion avec l'exposé de " la religion dans les limites de la raison ". Fichte fléchit le discours en repensant sa Doctrine de la Science à partir de l'Évangile de Saint-Jean. Mais c'est avec Hegel et Schelling que l'idéalisme postkantien se donne la tâche de ressourcer la dogmatique chrétienne à partir d'une ontothéologie spéculative.
Hegel laisse d'admirables Leçons sur la philosophie de la religion, Schelling construira sa Philosophie Positive à partir des " données " de la mythologie et de la révélation. Ce recueil, issu des travaux d'un colloque au Centre de Recherches sur Hegel et l'Idéalisme allemand de l'Université de Poitiers, rassemble des textes d'auteurs belges, français, allemands, italiens, libanais, luxembourgeois et américains.
Ils traitent aussi bien des grands idéalistes que de leurs prédécesseurs essentiels. P. Valenza étudie Jacobi et Reinhold, J. Lambinet parcourt la voie qui va de Paracelse et de Boehme à Schelling. V. Waibel compare Hôlderlin et le jeune Hegel. Une seule contribution est consacrée à Fichte : celle de V. Kokoszka sur la Wissenschafislehre tardive. Deux études portent sur Kant. R. Schaeffler réfléchit sur le rôle de l'histoire dans le système critique, R.
Theis explore les perspectives de la théologie kantienne à partir de la philosophie de Wolff. Deux études sont également consacrées à Schelling. J. Hatem traite de sa vision de l'intuition intellectuelle contre l'arrière-fond de la mystique tandis que A. Ardovino en étudie les travaux bibliques et patristiques. Quant à l'oeuvre de Hegel, elle fait l'objet de trois articles, ceux de Ph. Soual, de B.
Mabille et de J.-L. Vieillard-Baron, une oeuvre que M. Westphal approche à partir de la critique de Kierkegaard. Le recueil est conclu par des travaux comparatifs portant sur chacun des grands idéalistes. E. Brito traite de la notion de la foi chez Kant, Fichte, Hegel, Schelling et Schleiermacher quand J.-F. Marquet donne un exposé de l'enseignement des idéalistes sur le mystère de la Trinité.
L'idéalisme allemand est une philosophie enracinée dans la problématique religieuse. C'est Kant qui en inaugure la réflexion avec l'exposé de " la religion dans les limites de la raison ". Fichte fléchit le discours en repensant sa Doctrine de la Science à partir de l'Évangile de Saint-Jean. Mais c'est avec Hegel et Schelling que l'idéalisme postkantien se donne la tâche de ressourcer la dogmatique chrétienne à partir d'une ontothéologie spéculative.
Hegel laisse d'admirables Leçons sur la philosophie de la religion, Schelling construira sa Philosophie Positive à partir des " données " de la mythologie et de la révélation. Ce recueil, issu des travaux d'un colloque au Centre de Recherches sur Hegel et l'Idéalisme allemand de l'Université de Poitiers, rassemble des textes d'auteurs belges, français, allemands, italiens, libanais, luxembourgeois et américains.
Ils traitent aussi bien des grands idéalistes que de leurs prédécesseurs essentiels. P. Valenza étudie Jacobi et Reinhold, J. Lambinet parcourt la voie qui va de Paracelse et de Boehme à Schelling. V. Waibel compare Hôlderlin et le jeune Hegel. Une seule contribution est consacrée à Fichte : celle de V. Kokoszka sur la Wissenschafislehre tardive. Deux études portent sur Kant. R. Schaeffler réfléchit sur le rôle de l'histoire dans le système critique, R.
Theis explore les perspectives de la théologie kantienne à partir de la philosophie de Wolff. Deux études sont également consacrées à Schelling. J. Hatem traite de sa vision de l'intuition intellectuelle contre l'arrière-fond de la mystique tandis que A. Ardovino en étudie les travaux bibliques et patristiques. Quant à l'oeuvre de Hegel, elle fait l'objet de trois articles, ceux de Ph. Soual, de B.
Mabille et de J.-L. Vieillard-Baron, une oeuvre que M. Westphal approche à partir de la critique de Kierkegaard. Le recueil est conclu par des travaux comparatifs portant sur chacun des grands idéalistes. E. Brito traite de la notion de la foi chez Kant, Fichte, Hegel, Schelling et Schleiermacher quand J.-F. Marquet donne un exposé de l'enseignement des idéalistes sur le mystère de la Trinité.
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