L'icône ou la vision de Dieu
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- Poids0.273 kg
- Dimensions15,1 cm × 21,6 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-13-060636-9
- EAN9782130606369
- Date de parution20/04/2016
- CollectionEpiméthée
- ÉditeurPUF
- TraducteurHervé Pasqua
Résumé
Le De visione Dei, ou De icona, a été composé entre le 14 septembre et le 23 octobre 1453. Ce traité, l'oeuvre la plus belle du Cusain, est né à l'occasion d'une controverse sur le rapport entre la connaissance et l'amour dans l'union à Dieu, qui portait sur l'interprétation de la théologie mystique de Denys l'Aréopagite. Né d'un problème précis, il soulève une question essentielle et rendue actuelle par l'oeuvre d'Emmanuel Levinas : quelle est la nature de la relation d'un visage face à un autre ? Dans l'église de Saint-Pierre-aux-Liens, à Rome, dont le Cardinal était titulaire, en face du Moïse de Michel-Ange, se dresse le tombeau de Nicolas de Cues.
Un bas-relief le représente, en attitude d'humble soumission devant saint Pierre désenchaîné par un ange, à genoux, les mains jointes, le chapeau de cardinal à terre. On peut y contempler le portrait de ce serviteur de L'Eglise, surnommé l'"Hercule du pape Eugène IV". Nicolas de Cues est l'auteur d'une oeuvre remarquable. Celle-ci fait l'objet d'un regain d'intérêt auprès de chercheurs de plus en plus nombreux.
Difficile à classer, le philosophe mosellan - parmi les plus profonds - se situe à la frontière du Moyen Age et de la Renaissance. Principal héritier de Maître Eckhart, il prolonge le passé par son rattachement au néo-platonisme et annonce les idées nouvelles par ses théories audacieuses. Il faut voir en lui un philosophe de transition, un "passeur".
Un bas-relief le représente, en attitude d'humble soumission devant saint Pierre désenchaîné par un ange, à genoux, les mains jointes, le chapeau de cardinal à terre. On peut y contempler le portrait de ce serviteur de L'Eglise, surnommé l'"Hercule du pape Eugène IV". Nicolas de Cues est l'auteur d'une oeuvre remarquable. Celle-ci fait l'objet d'un regain d'intérêt auprès de chercheurs de plus en plus nombreux.
Difficile à classer, le philosophe mosellan - parmi les plus profonds - se situe à la frontière du Moyen Age et de la Renaissance. Principal héritier de Maître Eckhart, il prolonge le passé par son rattachement au néo-platonisme et annonce les idées nouvelles par ses théories audacieuses. Il faut voir en lui un philosophe de transition, un "passeur".
Le De visione Dei, ou De icona, a été composé entre le 14 septembre et le 23 octobre 1453. Ce traité, l'oeuvre la plus belle du Cusain, est né à l'occasion d'une controverse sur le rapport entre la connaissance et l'amour dans l'union à Dieu, qui portait sur l'interprétation de la théologie mystique de Denys l'Aréopagite. Né d'un problème précis, il soulève une question essentielle et rendue actuelle par l'oeuvre d'Emmanuel Levinas : quelle est la nature de la relation d'un visage face à un autre ? Dans l'église de Saint-Pierre-aux-Liens, à Rome, dont le Cardinal était titulaire, en face du Moïse de Michel-Ange, se dresse le tombeau de Nicolas de Cues.
Un bas-relief le représente, en attitude d'humble soumission devant saint Pierre désenchaîné par un ange, à genoux, les mains jointes, le chapeau de cardinal à terre. On peut y contempler le portrait de ce serviteur de L'Eglise, surnommé l'"Hercule du pape Eugène IV". Nicolas de Cues est l'auteur d'une oeuvre remarquable. Celle-ci fait l'objet d'un regain d'intérêt auprès de chercheurs de plus en plus nombreux.
Difficile à classer, le philosophe mosellan - parmi les plus profonds - se situe à la frontière du Moyen Age et de la Renaissance. Principal héritier de Maître Eckhart, il prolonge le passé par son rattachement au néo-platonisme et annonce les idées nouvelles par ses théories audacieuses. Il faut voir en lui un philosophe de transition, un "passeur".
Un bas-relief le représente, en attitude d'humble soumission devant saint Pierre désenchaîné par un ange, à genoux, les mains jointes, le chapeau de cardinal à terre. On peut y contempler le portrait de ce serviteur de L'Eglise, surnommé l'"Hercule du pape Eugène IV". Nicolas de Cues est l'auteur d'une oeuvre remarquable. Celle-ci fait l'objet d'un regain d'intérêt auprès de chercheurs de plus en plus nombreux.
Difficile à classer, le philosophe mosellan - parmi les plus profonds - se situe à la frontière du Moyen Age et de la Renaissance. Principal héritier de Maître Eckhart, il prolonge le passé par son rattachement au néo-platonisme et annonce les idées nouvelles par ses théories audacieuses. Il faut voir en lui un philosophe de transition, un "passeur".