La sagesse, l'esprit, les expériences de statique selon l'Idiot. Edition bilingue latin-français
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages580
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2505-0
- EAN9791037025050
- Date de parution11/04/2012
- Protection num.Adobe DRM
- Taille22 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- TraducteurFrançoise Coursaget
- Commentateur (texte)Roger Bruyeron
Résumé
Édition bilingue latin / français.
Traduction inédite de Françoise Coursaget Introduction et commentaires de Roger Bruyeron.
Les trois dialogues composés par le Cardinal Nicolas de Cues pendant l'été 1450 ne résument pas toute la pensée de cet auteur, mais ils éclairent d'un jour relativement nouveau sa réflexion sur le lien entre sagesse et savoir. Proche en cela des Anciens, Nicolas de Cues pense leur unité dans la lumière de l'Un de la Déité, écrit-il parfois réfléchie par la puissance de l'esprit humain.
Cet esprit est compris comme imago dei, non pas image de Dieu, car tout ce qui est image de Dieu, mais plutôt copie de Dieu, reprise de la toute-puissance divine dans les limites que lui impose, toutefois, le fait d'être finie. La vérité étant en elle-même inaccessible ici-bas intangible, écrit Nicolas de Cues reste le développement de cette vérité ou de l'Un, c'est à dire ce monde que l'esprit a pour tâche de mesurer, de reprendre, de recréer.
Savoir pour inventer un monde à venir, avec humilité et ouverture à l'Étranger : cela s'accorde précisément avec ce que certains historiens nomment l'Humanisme.
Cet esprit est compris comme imago dei, non pas image de Dieu, car tout ce qui est image de Dieu, mais plutôt copie de Dieu, reprise de la toute-puissance divine dans les limites que lui impose, toutefois, le fait d'être finie. La vérité étant en elle-même inaccessible ici-bas intangible, écrit Nicolas de Cues reste le développement de cette vérité ou de l'Un, c'est à dire ce monde que l'esprit a pour tâche de mesurer, de reprendre, de recréer.
Savoir pour inventer un monde à venir, avec humilité et ouverture à l'Étranger : cela s'accorde précisément avec ce que certains historiens nomment l'Humanisme.
Édition bilingue latin / français.
Traduction inédite de Françoise Coursaget Introduction et commentaires de Roger Bruyeron.
Les trois dialogues composés par le Cardinal Nicolas de Cues pendant l'été 1450 ne résument pas toute la pensée de cet auteur, mais ils éclairent d'un jour relativement nouveau sa réflexion sur le lien entre sagesse et savoir. Proche en cela des Anciens, Nicolas de Cues pense leur unité dans la lumière de l'Un de la Déité, écrit-il parfois réfléchie par la puissance de l'esprit humain.
Cet esprit est compris comme imago dei, non pas image de Dieu, car tout ce qui est image de Dieu, mais plutôt copie de Dieu, reprise de la toute-puissance divine dans les limites que lui impose, toutefois, le fait d'être finie. La vérité étant en elle-même inaccessible ici-bas intangible, écrit Nicolas de Cues reste le développement de cette vérité ou de l'Un, c'est à dire ce monde que l'esprit a pour tâche de mesurer, de reprendre, de recréer.
Savoir pour inventer un monde à venir, avec humilité et ouverture à l'Étranger : cela s'accorde précisément avec ce que certains historiens nomment l'Humanisme.
Cet esprit est compris comme imago dei, non pas image de Dieu, car tout ce qui est image de Dieu, mais plutôt copie de Dieu, reprise de la toute-puissance divine dans les limites que lui impose, toutefois, le fait d'être finie. La vérité étant en elle-même inaccessible ici-bas intangible, écrit Nicolas de Cues reste le développement de cette vérité ou de l'Un, c'est à dire ce monde que l'esprit a pour tâche de mesurer, de reprendre, de recréer.
Savoir pour inventer un monde à venir, avec humilité et ouverture à l'Étranger : cela s'accorde précisément avec ce que certains historiens nomment l'Humanisme.