L'homme-trace. Des traces du corps au corps-trace
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- Nombre de pages415
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.6 kg
- Dimensions14,8 cm × 22,8 cm × 2,9 cm
- ISBN978-2-271-11417-4
- EAN9782271114174
- Date de parution01/06/2017
- ÉditeurCNRS
Résumé
Engagé dans un mouvement vertigineux, notre XXIe siècle brouille les repères. En intégrant du non-vivant au vivant et du vivant au non-vivant, les nouvelles techniques bouleversent les frontières de l'anthropologie. Les conceptions que l'"humain pensant" a de lui-même, de son schéma corporel comme de son identité, en sont renversées. Ce quatrième tome de la série L'Homme-trace prend donc le "corps", le corps-trace plus précisément, comme objet d'études.
Il s'agit pour les chercheurs réunis ici d'examiner les processus traçuels à l'oeuvre en reprenant et questionnant la thèse, développée par Béatrice Galinon-Mélénec, d'une interaction étroite et rétroactive entre le corps et un système écologique multifactoriel marquée par l'histoire de l'Evolution. Le corps ainsi considéré s'inscrit dans une dynamique systémique liant un corps-interprété et un corps-interprétant au sein d'un complexe où des corps en co-présence sont animés par des interactions permanentes : à l'intérieur du corps, du dedans au dehors et du dehors au dedans.
Avec cette nouvelle approche, toute la relation soignant-soigné, par exemple, prend une nouvelle dimension. La série L'Homme-trace montre comment la trace peut servir de paradigme interprétatif au sein de différentes disciplines et combien cette approche impose une déconstruction des processus à l'oeuvre dans l'interprétation humaine de la notion de trace.
Il s'agit pour les chercheurs réunis ici d'examiner les processus traçuels à l'oeuvre en reprenant et questionnant la thèse, développée par Béatrice Galinon-Mélénec, d'une interaction étroite et rétroactive entre le corps et un système écologique multifactoriel marquée par l'histoire de l'Evolution. Le corps ainsi considéré s'inscrit dans une dynamique systémique liant un corps-interprété et un corps-interprétant au sein d'un complexe où des corps en co-présence sont animés par des interactions permanentes : à l'intérieur du corps, du dedans au dehors et du dehors au dedans.
Avec cette nouvelle approche, toute la relation soignant-soigné, par exemple, prend une nouvelle dimension. La série L'Homme-trace montre comment la trace peut servir de paradigme interprétatif au sein de différentes disciplines et combien cette approche impose une déconstruction des processus à l'oeuvre dans l'interprétation humaine de la notion de trace.
Engagé dans un mouvement vertigineux, notre XXIe siècle brouille les repères. En intégrant du non-vivant au vivant et du vivant au non-vivant, les nouvelles techniques bouleversent les frontières de l'anthropologie. Les conceptions que l'"humain pensant" a de lui-même, de son schéma corporel comme de son identité, en sont renversées. Ce quatrième tome de la série L'Homme-trace prend donc le "corps", le corps-trace plus précisément, comme objet d'études.
Il s'agit pour les chercheurs réunis ici d'examiner les processus traçuels à l'oeuvre en reprenant et questionnant la thèse, développée par Béatrice Galinon-Mélénec, d'une interaction étroite et rétroactive entre le corps et un système écologique multifactoriel marquée par l'histoire de l'Evolution. Le corps ainsi considéré s'inscrit dans une dynamique systémique liant un corps-interprété et un corps-interprétant au sein d'un complexe où des corps en co-présence sont animés par des interactions permanentes : à l'intérieur du corps, du dedans au dehors et du dehors au dedans.
Avec cette nouvelle approche, toute la relation soignant-soigné, par exemple, prend une nouvelle dimension. La série L'Homme-trace montre comment la trace peut servir de paradigme interprétatif au sein de différentes disciplines et combien cette approche impose une déconstruction des processus à l'oeuvre dans l'interprétation humaine de la notion de trace.
Il s'agit pour les chercheurs réunis ici d'examiner les processus traçuels à l'oeuvre en reprenant et questionnant la thèse, développée par Béatrice Galinon-Mélénec, d'une interaction étroite et rétroactive entre le corps et un système écologique multifactoriel marquée par l'histoire de l'Evolution. Le corps ainsi considéré s'inscrit dans une dynamique systémique liant un corps-interprété et un corps-interprétant au sein d'un complexe où des corps en co-présence sont animés par des interactions permanentes : à l'intérieur du corps, du dedans au dehors et du dehors au dedans.
Avec cette nouvelle approche, toute la relation soignant-soigné, par exemple, prend une nouvelle dimension. La série L'Homme-trace montre comment la trace peut servir de paradigme interprétatif au sein de différentes disciplines et combien cette approche impose une déconstruction des processus à l'oeuvre dans l'interprétation humaine de la notion de trace.