Maggie vit dans un petit village de bord de mer sympatoche, elle tient un diner et elle gère la fougère en cuisine, elle a une nièce adorable, une soeur jumelle qui l’adore et un chien trop kawai, BREF, tout lui sourit SAUF… L’Amour avec un grand A. Et ses affaires ne vont pas s’arranger de sitôt puisque le seul type sur lequel elle craque s’avère être… le prêtre de la bourgade.
Alors voilà. Le résumé ne m’a pas franchement emballée mais au début, je dois reconnaître que j’ai été plutôt séduite par L’Homme idéal… ou presque. (Comment ne pas l’être ? huhu) Pour commencer, la fille qui sommeille en moi (comment ça, j’en suis une ?) a aimé la couverture girly à souhait. Un petit tour sur Internet m’a permis de voir que tous les bouquins de Miss Higgins sont décorés comme des cupcakes, et c’est pas désagréable.
Concernant l’histoire à proprement parler : la looseuse sentimentale qui enchaine les déceptions et les maladresses, c’est vu, vu, et re-revu mais ça fonctionne pas mal dans l’esprit de la comédie romantique. Au début, l’ambiance m’a donc plue, je me suis dit que ce serait une lecture légère agréable : on s’amuse de la relation ambiguë entre Maggie et son Collin Farrell de prêtre, puis on se prend au jeu de son idylle torride avec son pêcheur-Clive Owen… Mais voilà, ça retombe aussitôt. Il ne se passe pas grand chose, les événements, les réactions des personnages sont plus que prévisibles, ce qui rend la lecture de plus en plus ennuyeuse au fil des pages…
L’Homme idéal… ou presque n’est pas mauvais cependant, et s’inscrit dans la tradition des comédies à la Bridget Jones et les fans du genre y trouveront certainement leur compte. J’en ai peut-être juste vues ou lues suffisamment.
Critique bloguesque : http://prettyrosemary.wordpress.com/2014/04/08/moralite-on-ne-sentiche-pas-des-pretres/
Maggie vit dans un petit village de bord de mer sympatoche, elle tient un diner et elle gère la fougère en cuisine, elle a une nièce adorable, une soeur jumelle qui l’adore et un chien trop kawai, BREF, tout lui sourit SAUF… L’Amour avec un grand A. Et ses affaires ne vont pas s’arranger de sitôt puisque le seul type sur lequel elle craque s’avère être… le prêtre de la bourgade.
Alors voilà. Le résumé ne m’a pas franchement emballée mais au début, je dois reconnaître que j’ai été plutôt séduite par L’Homme idéal… ou presque. (Comment ne pas l’être ? huhu) Pour commencer, la fille qui sommeille en moi (comment ça, j’en suis une ?) a aimé la couverture girly à souhait. Un petit tour sur Internet m’a permis de voir que tous les bouquins de Miss Higgins sont décorés comme des cupcakes, et c’est pas désagréable.
Concernant l’histoire à proprement parler : la looseuse sentimentale qui enchaine les déceptions et les maladresses, c’est vu, vu, et re-revu mais ça fonctionne pas mal dans l’esprit de la comédie romantique. Au début, l’ambiance m’a donc plue, je me suis dit que ce serait une lecture légère agréable : on s’amuse de la relation ambiguë entre Maggie et son Collin Farrell de prêtre, puis on se prend au jeu de son idylle torride avec son pêcheur-Clive Owen… Mais voilà, ça retombe aussitôt. Il ne se passe pas grand chose, les événements, les réactions des personnages sont plus que prévisibles, ce qui rend la lecture de plus en plus ennuyeuse au fil des pages…
L’Homme idéal… ou presque n’est pas mauvais cependant, et s’inscrit dans la tradition des comédies à la Bridget Jones et les fans du genre y trouveront certainement leur compte. J’en ai peut-être juste vues ou lues suffisamment.
Critique bloguesque : http://prettyrosemary.wordpress.com/2014/04/08/moralite-on-ne-sentiche-pas-des-pretres/