Né à Sète le 30 octobre 1871, Paul Valéry fait la connaissance de Pierre Louÿs et de Gide avec qui il fréquente le salon de Mallarmé. Rédacteur au ministère de la Guerre, puis secrétaire particulier d'un administrateur de l'agence Havas, il accède aux cercles fermés de l'information et de la finance. Elu à l'Académie française en 1925, il est nommé professeur de poétique au Collège de France en 1937. Il meurt le 20 juillet 1945 à Paris où on lui fait des funérailles nationales.
L'homme et la coquille
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- Nombre de pages49
- FormatGrand Format
- Poids0.095 kg
- Dimensions15,4 cm × 21,7 cm × 0,3 cm
- ISBN979-10-94565-12-4
- EAN9791094565124
- Date de parution22/04/2017
- CollectionLivrets d'art
- ÉditeurMarguerite Waknine
Résumé
Même si son oeuvre est à présent entrée dans le domaine public, Paul Valéry est-il un auteur connu du plus grand nombre ? Il a pourtant signé une oeuvre considérable, tant par sa profondeur que par son étendue : une foultitude d'essais en tous genres, des recueils poétiques, des dialogues et des proses difficilement classables. Et pourtant Valéry demeure comme lointainement cloîtré dans une représentation plus ou moins raide de la poésie et de l'intellectualité, si bien que la découverte d'un texte comme L'homme et la coquille permettra certainement d'apprécier au mieux le mouvement d'une pensée et d'une sensibilité inextricablement liées, au point d'entendre Paul Valéry lui-même nous parler d'une poésie des merveilles et des émotions de l'intellect.
C'est en effet à partir de la contemplation d'une simple coquille que Paul Valéry nous introduit par ce texte (d'une écriture limpide) à la plus animées des pensées : une réflexion sur la création des hommes et de la nature, et sur les limites de notre pouvoir à saisir et connaître en son fond comme en son extension cette création même. Autrement dit encore, un merveilleux moment de réflexion heureuse, pertinente et gracieuse, de la part d'un poète essayiste qui se doit d'être enfin reçu par le public le plus large qui soit.
C'est en effet à partir de la contemplation d'une simple coquille que Paul Valéry nous introduit par ce texte (d'une écriture limpide) à la plus animées des pensées : une réflexion sur la création des hommes et de la nature, et sur les limites de notre pouvoir à saisir et connaître en son fond comme en son extension cette création même. Autrement dit encore, un merveilleux moment de réflexion heureuse, pertinente et gracieuse, de la part d'un poète essayiste qui se doit d'être enfin reçu par le public le plus large qui soit.
Même si son oeuvre est à présent entrée dans le domaine public, Paul Valéry est-il un auteur connu du plus grand nombre ? Il a pourtant signé une oeuvre considérable, tant par sa profondeur que par son étendue : une foultitude d'essais en tous genres, des recueils poétiques, des dialogues et des proses difficilement classables. Et pourtant Valéry demeure comme lointainement cloîtré dans une représentation plus ou moins raide de la poésie et de l'intellectualité, si bien que la découverte d'un texte comme L'homme et la coquille permettra certainement d'apprécier au mieux le mouvement d'une pensée et d'une sensibilité inextricablement liées, au point d'entendre Paul Valéry lui-même nous parler d'une poésie des merveilles et des émotions de l'intellect.
C'est en effet à partir de la contemplation d'une simple coquille que Paul Valéry nous introduit par ce texte (d'une écriture limpide) à la plus animées des pensées : une réflexion sur la création des hommes et de la nature, et sur les limites de notre pouvoir à saisir et connaître en son fond comme en son extension cette création même. Autrement dit encore, un merveilleux moment de réflexion heureuse, pertinente et gracieuse, de la part d'un poète essayiste qui se doit d'être enfin reçu par le public le plus large qui soit.
C'est en effet à partir de la contemplation d'une simple coquille que Paul Valéry nous introduit par ce texte (d'une écriture limpide) à la plus animées des pensées : une réflexion sur la création des hommes et de la nature, et sur les limites de notre pouvoir à saisir et connaître en son fond comme en son extension cette création même. Autrement dit encore, un merveilleux moment de réflexion heureuse, pertinente et gracieuse, de la part d'un poète essayiste qui se doit d'être enfin reçu par le public le plus large qui soit.