Né à Sète le 30 octobre 1871, Paul Valéry fait la connaissance de Pierre Louÿs et de Gide avec qui il fréquente le salon de Mallarmé. Rédacteur au ministère de la Guerre, puis secrétaire particulier d'un administrateur de l'agence Havas, il accède aux cercles fermés de l'information et de la finance. Elu à l'Académie française en 1925, il est nommé professeur de poétique au Collège de France en 1937. Il meurt le 20 juillet 1945 à Paris où on lui fait des funérailles nationales.
Poésies
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- Nombre de pages354
- FormatePub
- ISBN978-2-08-144839-1
- EAN9782081448391
- Date de parution10/10/2018
- Protection num.Adobe DRM
- Taille563 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion
- AnnotateurJean-Michel Maulpoix
Résumé
En 1929, Valéry réunit ses trois principaux recueils de vers en un seul volume, sous le titre discret de Poésies. Pendant plus de dix ans, il ajuste l'ensemble avec grand soin : il multiplie les variantes, ajoute des « pièces diverses », en supprime d'autres. Il faut attendre 1942 pour aboutir à l'édition complète et définitive de son ouvre en vers. C'est cette édition que nous reproduisons ici.
L'ouvre de Valéry hérite autant de la rigueur formelle des classiques que de l'ampleur de questionnement des modernes.
Elle manifeste un souci de l'art pur, de l'accès au plus rare, au plus immatériel. Cette exigence fait de lui un poète résolument tourné vers l'intellect. Mais il est aussi celui qui défend le travail poétique comme un faire, s'astreignant à un patient labeur, ciselant le vers avec la précision de l'artisan. En somme, Valéry s'installe dans ce qui n'est ni la poésie ni l'intelligence, mais leur étreinte ou leur douleur commune : l'écriture.
Elle manifeste un souci de l'art pur, de l'accès au plus rare, au plus immatériel. Cette exigence fait de lui un poète résolument tourné vers l'intellect. Mais il est aussi celui qui défend le travail poétique comme un faire, s'astreignant à un patient labeur, ciselant le vers avec la précision de l'artisan. En somme, Valéry s'installe dans ce qui n'est ni la poésie ni l'intelligence, mais leur étreinte ou leur douleur commune : l'écriture.
En 1929, Valéry réunit ses trois principaux recueils de vers en un seul volume, sous le titre discret de Poésies. Pendant plus de dix ans, il ajuste l'ensemble avec grand soin : il multiplie les variantes, ajoute des « pièces diverses », en supprime d'autres. Il faut attendre 1942 pour aboutir à l'édition complète et définitive de son ouvre en vers. C'est cette édition que nous reproduisons ici.
L'ouvre de Valéry hérite autant de la rigueur formelle des classiques que de l'ampleur de questionnement des modernes.
Elle manifeste un souci de l'art pur, de l'accès au plus rare, au plus immatériel. Cette exigence fait de lui un poète résolument tourné vers l'intellect. Mais il est aussi celui qui défend le travail poétique comme un faire, s'astreignant à un patient labeur, ciselant le vers avec la précision de l'artisan. En somme, Valéry s'installe dans ce qui n'est ni la poésie ni l'intelligence, mais leur étreinte ou leur douleur commune : l'écriture.
Elle manifeste un souci de l'art pur, de l'accès au plus rare, au plus immatériel. Cette exigence fait de lui un poète résolument tourné vers l'intellect. Mais il est aussi celui qui défend le travail poétique comme un faire, s'astreignant à un patient labeur, ciselant le vers avec la précision de l'artisan. En somme, Valéry s'installe dans ce qui n'est ni la poésie ni l'intelligence, mais leur étreinte ou leur douleur commune : l'écriture.