L'été noir de 42

Par : Alexander Werth

Disponible d'occasion :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages376
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.52 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-213-72160-6
  • EAN9782213721606
  • Date de parution27/04/2022
  • ÉditeurFayard
  • TraducteurNicolas Werth

Résumé

Avec L'Eté noir de 42 s'achève la publication des Carnets du célèbre journaliste britannique Alexander Werth. Il y raconte son périlleux périple en bateau entre l'Ecosse et Mourmansk, le voyage en train aux côtés des Soviétiques jusqu'à Moscou et décrit son expérience de correspondant de guerre durant les mois les plus tragiques du conflit sur le front de l'Est. Consigné dans la capitale, sans information fiable, Alexander Werth se livre à une analyse serrée de la presse quotidienne, des actualités filmées projetées au cinéma, des chroniques et autres " écrits patriotiques " publiés par les écrivains les plus populaires qu'il côtoie quotidiennement.
Il scrute les métamorphoses de la propagande, le retour aux valeurs traditionnelles dans l'armée, mais aussi, à la moindre occasion, le vécu et le moral des Moscovites durant les semaines critiques qui suivent la chute de Rostov-sur-le-Don. Mais L'Eté noir de 42 est aussi une réflexion sur le métier de journaliste en " conditions extrêmes " . Malgré les limitations imposées à ses déplacements, strictement encadrés par les officiels soviétiques qui organisent des " sorties " dans tel kolkhoze ou camp-modèle de prisonniers allemands, Alexander Werth glane des impressions, loin des discours officiels.
Nous connaissons aujourd'hui la " fin de l'histoire " : la victoire de l'Armée rouge à Stalingrad. Mais durant le terrible été 42, qui marque l'apogée de l'avancée des forces de l'Axe, qui pouvait prédire ce qui allait se passer ? Le témoignage d'Alexander Werth se fait dès lors journal de l'attente. Attente du désastre, non plus à l'échelle d'un pays, mais d'un continent.
Avec L'Eté noir de 42 s'achève la publication des Carnets du célèbre journaliste britannique Alexander Werth. Il y raconte son périlleux périple en bateau entre l'Ecosse et Mourmansk, le voyage en train aux côtés des Soviétiques jusqu'à Moscou et décrit son expérience de correspondant de guerre durant les mois les plus tragiques du conflit sur le front de l'Est. Consigné dans la capitale, sans information fiable, Alexander Werth se livre à une analyse serrée de la presse quotidienne, des actualités filmées projetées au cinéma, des chroniques et autres " écrits patriotiques " publiés par les écrivains les plus populaires qu'il côtoie quotidiennement.
Il scrute les métamorphoses de la propagande, le retour aux valeurs traditionnelles dans l'armée, mais aussi, à la moindre occasion, le vécu et le moral des Moscovites durant les semaines critiques qui suivent la chute de Rostov-sur-le-Don. Mais L'Eté noir de 42 est aussi une réflexion sur le métier de journaliste en " conditions extrêmes " . Malgré les limitations imposées à ses déplacements, strictement encadrés par les officiels soviétiques qui organisent des " sorties " dans tel kolkhoze ou camp-modèle de prisonniers allemands, Alexander Werth glane des impressions, loin des discours officiels.
Nous connaissons aujourd'hui la " fin de l'histoire " : la victoire de l'Armée rouge à Stalingrad. Mais durant le terrible été 42, qui marque l'apogée de l'avancée des forces de l'Axe, qui pouvait prédire ce qui allait se passer ? Le témoignage d'Alexander Werth se fait dès lors journal de l'attente. Attente du désastre, non plus à l'échelle d'un pays, mais d'un continent.
Moscou, 1941
Alexander Werth
Livre neuf à prix réduit
7,00 €
19,90 €
Léningrad, 1943
Alexander Werth
E-book
8,99 €
Léningrad, 1943
Alexander Werth
E-book
8,99 €
Moscou
Alexander Werth
E-book
10,99 €