Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le texte que nous présentons ici dans une nouvelle traduction est extrait de l'introduction de L'Essence du christianisme (1841). Pour Feuerbach, définir...
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Résumé
Le texte que nous présentons ici dans une nouvelle traduction est extrait de l'introduction de L'Essence du christianisme (1841). Pour Feuerbach, définir " l'essence de la religion en général ", c'est d'abord analyser le principe constitutif de l'illusion religieuse en tant que celle-ci est inhérente à la structure même de la conscience, saisie dans son mouvement spontané. En mettant en valeur l'autoaliénation de la conscience religieuse, captive de ses propres représentations et d'un rapport au monde coupé de toute réflexion, Feuerbach indique alors la nécessité d'une critique philosophique de religion qui ne vise pas purement et simplement à nier les contenus de la conscience religieuse, mais qui cherche au contraire à rendre compte des conditions de possibilité de cette conscience religieuse pour en relever la part de vérité. Il entend ainsi affirmer le sens anthropologique de la religion, que la théologie aussi bien que la spéculation métaphysique cherchent à recouvrir de leurs concepts ou de leurs dogmes. Le but ultime de ces analyses consiste alors à réapproprier à l'homme lui-même ces attributs dont il s'est dépossédé pour les placer en un Dieu imaginaire, à travers lequel il a méconnu sa propre essence.