L'Ecole française d'Extrême-Orient (1898-1956). Essai d'histoire sociale et politique de la science coloniale
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- Nombre de pages380
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.3 kg
- Dimensions13,0 cm × 19,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-271-12255-1
- EAN9782271122551
- Date de parution14/03/2019
- CollectionBiblis
- ÉditeurCNRS
Résumé
Institution phare de l'orientalisme français, l'Ecole française d'Extrême-Orient, fondée en Indochine en 1898, reste largement méconnue. Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. Institution phare de l'orientalisme français, l'Ecole française d'Extrême-Orient, fondée en Indochine en 1898, reste largement méconnue.
Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. A travers cette étude historique, Pierre Singaravélou revient sur la dimension culturelle de la domination coloniale, mais aussi sur le foisonnement intellectuel qui caractérise l'Asie de la première moitié du XXe siècle. Exploration archéologique, collecte des manuscrits, étude du patrimoine linguistique, etc.
: ces activités tous azimuts de l'Ecole soulignent la richesse des connaissances co-produites par les savants français et les chercheurs autochtones dont le statut demeure subalterne. Et la découverte inattendue de la vente par l'Ecole de certaines sculptures khmères d'Angkor dans les années 1930 démontre la perpétuation de pratiques prédatrices. Un grand essai d'histoire sur l'orientalisme et les sciences humaines en situation coloniale.
Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. A travers cette étude historique, Pierre Singaravélou revient sur la dimension culturelle de la domination coloniale, mais aussi sur le foisonnement intellectuel qui caractérise l'Asie de la première moitié du XXe siècle. Exploration archéologique, collecte des manuscrits, étude du patrimoine linguistique, etc.
: ces activités tous azimuts de l'Ecole soulignent la richesse des connaissances co-produites par les savants français et les chercheurs autochtones dont le statut demeure subalterne. Et la découverte inattendue de la vente par l'Ecole de certaines sculptures khmères d'Angkor dans les années 1930 démontre la perpétuation de pratiques prédatrices. Un grand essai d'histoire sur l'orientalisme et les sciences humaines en situation coloniale.
Institution phare de l'orientalisme français, l'Ecole française d'Extrême-Orient, fondée en Indochine en 1898, reste largement méconnue. Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. Institution phare de l'orientalisme français, l'Ecole française d'Extrême-Orient, fondée en Indochine en 1898, reste largement méconnue.
Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. A travers cette étude historique, Pierre Singaravélou revient sur la dimension culturelle de la domination coloniale, mais aussi sur le foisonnement intellectuel qui caractérise l'Asie de la première moitié du XXe siècle. Exploration archéologique, collecte des manuscrits, étude du patrimoine linguistique, etc.
: ces activités tous azimuts de l'Ecole soulignent la richesse des connaissances co-produites par les savants français et les chercheurs autochtones dont le statut demeure subalterne. Et la découverte inattendue de la vente par l'Ecole de certaines sculptures khmères d'Angkor dans les années 1930 démontre la perpétuation de pratiques prédatrices. Un grand essai d'histoire sur l'orientalisme et les sciences humaines en situation coloniale.
Elle est pourtant un formidable laboratoire pour observer la " science coloniale ", ses conditions de production et ses usages politiques. A travers cette étude historique, Pierre Singaravélou revient sur la dimension culturelle de la domination coloniale, mais aussi sur le foisonnement intellectuel qui caractérise l'Asie de la première moitié du XXe siècle. Exploration archéologique, collecte des manuscrits, étude du patrimoine linguistique, etc.
: ces activités tous azimuts de l'Ecole soulignent la richesse des connaissances co-produites par les savants français et les chercheurs autochtones dont le statut demeure subalterne. Et la découverte inattendue de la vente par l'Ecole de certaines sculptures khmères d'Angkor dans les années 1930 démontre la perpétuation de pratiques prédatrices. Un grand essai d'histoire sur l'orientalisme et les sciences humaines en situation coloniale.