L'avortement en Pologne. La croix et la bannière
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.305 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-7384-1585-7
- EAN9782738415851
- Date de parution03/05/2000
- CollectionLogiques sociales
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMarie-France Casalis
Résumé
La croisade de l'Eglise catholique polonaise "pour le droit à la vie" s'est matérialisée dans un vote du Sénat en 1991, et dans celui de la Diète en 1992. Le texte de loi, adopté par les députés en première lecture, interdit l'avortement sauf en cas de danger pour la vie de la femme et prévoit des peines de deux ans de prison pour le médecin ou toute personne aidant la femme à avorter. Le taux d'interruptions de grossesse, particulièrement élevé en Pologne, est lié à l'absence de pratiques rationnelles dans le domaine du contrôle des naissances.
Cette situation résulte pour une part des politiques du régime communiste en la matière. Mais elle résulte également et surtout des pressions exercées par le clergé pour prohiber tout recours à une contraception efficace et pour imposer ses vues à l'ensemble de la population - croyante ou non. Dans leur grande majorité, les Polonaises et les Polonais restent attachés au principe du droit à l'avortement.
Mais ils hésitent à s'affronter à l'Eglise dont l'autorité repose sur le rôle qu'elle a joué historiquement dans l'opposition au stalinisme.
Cette situation résulte pour une part des politiques du régime communiste en la matière. Mais elle résulte également et surtout des pressions exercées par le clergé pour prohiber tout recours à une contraception efficace et pour imposer ses vues à l'ensemble de la population - croyante ou non. Dans leur grande majorité, les Polonaises et les Polonais restent attachés au principe du droit à l'avortement.
Mais ils hésitent à s'affronter à l'Eglise dont l'autorité repose sur le rôle qu'elle a joué historiquement dans l'opposition au stalinisme.
La croisade de l'Eglise catholique polonaise "pour le droit à la vie" s'est matérialisée dans un vote du Sénat en 1991, et dans celui de la Diète en 1992. Le texte de loi, adopté par les députés en première lecture, interdit l'avortement sauf en cas de danger pour la vie de la femme et prévoit des peines de deux ans de prison pour le médecin ou toute personne aidant la femme à avorter. Le taux d'interruptions de grossesse, particulièrement élevé en Pologne, est lié à l'absence de pratiques rationnelles dans le domaine du contrôle des naissances.
Cette situation résulte pour une part des politiques du régime communiste en la matière. Mais elle résulte également et surtout des pressions exercées par le clergé pour prohiber tout recours à une contraception efficace et pour imposer ses vues à l'ensemble de la population - croyante ou non. Dans leur grande majorité, les Polonaises et les Polonais restent attachés au principe du droit à l'avortement.
Mais ils hésitent à s'affronter à l'Eglise dont l'autorité repose sur le rôle qu'elle a joué historiquement dans l'opposition au stalinisme.
Cette situation résulte pour une part des politiques du régime communiste en la matière. Mais elle résulte également et surtout des pressions exercées par le clergé pour prohiber tout recours à une contraception efficace et pour imposer ses vues à l'ensemble de la population - croyante ou non. Dans leur grande majorité, les Polonaises et les Polonais restent attachés au principe du droit à l'avortement.
Mais ils hésitent à s'affronter à l'Eglise dont l'autorité repose sur le rôle qu'elle a joué historiquement dans l'opposition au stalinisme.