L'arthérapie, d'un lien art et médecine. Volume 3, Ethique, esthétique, sollicitude
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- Nombre de pages272
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-336-00552-2
- EAN9782336005522
- Date de parution02/11/2012
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'arthérapie oppose souvent les intentionnistes et les finalistes. Les premiers soutiennent que le plus important est l'intentionnel, donc le faire au sein de l'atelier arthérapeutique. Les seconds questionnent la réalisation dans sa finalité esthétique, à savoir : le beau aide-t-il à la guérison ? Le résultat de la production artistique tend-il vers une re-normalisation du malade ? Quelles techniques d'évaluation fiables peut-on mettre en place ? En outre, quelle est la place du beau, qui est toujours une performance, par rapport au satisfecit thérapeutique ? L'auteur aborde le délicat problème de l'éthique en arthérapie avec une question cruciale : qui doit en jouir ? Le patient, l'artiste, le scientifique, voire le philosophe ? C'est aussi l'occasion de conceptualiser l'arthérapie mémorielle et l'arthérapie survivielle.
Quels maux l'art peut-il guérir ? L'auteur parle d'une " éthique de la catastrophe". Enfin, l'ouvrage aborde un sujet inédit en arthérapie : celui de la sollicitude, plus techniquement baptisé caringde par ses racines anglo-saxonnes. C'est l'occasion d'émettre des hypothèses sur la féminisation des arthérapeutes et de revenir sur le récit d'un genre, contextualisé en arthérapie.
Quels maux l'art peut-il guérir ? L'auteur parle d'une " éthique de la catastrophe". Enfin, l'ouvrage aborde un sujet inédit en arthérapie : celui de la sollicitude, plus techniquement baptisé caringde par ses racines anglo-saxonnes. C'est l'occasion d'émettre des hypothèses sur la féminisation des arthérapeutes et de revenir sur le récit d'un genre, contextualisé en arthérapie.
L'arthérapie oppose souvent les intentionnistes et les finalistes. Les premiers soutiennent que le plus important est l'intentionnel, donc le faire au sein de l'atelier arthérapeutique. Les seconds questionnent la réalisation dans sa finalité esthétique, à savoir : le beau aide-t-il à la guérison ? Le résultat de la production artistique tend-il vers une re-normalisation du malade ? Quelles techniques d'évaluation fiables peut-on mettre en place ? En outre, quelle est la place du beau, qui est toujours une performance, par rapport au satisfecit thérapeutique ? L'auteur aborde le délicat problème de l'éthique en arthérapie avec une question cruciale : qui doit en jouir ? Le patient, l'artiste, le scientifique, voire le philosophe ? C'est aussi l'occasion de conceptualiser l'arthérapie mémorielle et l'arthérapie survivielle.
Quels maux l'art peut-il guérir ? L'auteur parle d'une " éthique de la catastrophe". Enfin, l'ouvrage aborde un sujet inédit en arthérapie : celui de la sollicitude, plus techniquement baptisé caringde par ses racines anglo-saxonnes. C'est l'occasion d'émettre des hypothèses sur la féminisation des arthérapeutes et de revenir sur le récit d'un genre, contextualisé en arthérapie.
Quels maux l'art peut-il guérir ? L'auteur parle d'une " éthique de la catastrophe". Enfin, l'ouvrage aborde un sujet inédit en arthérapie : celui de la sollicitude, plus techniquement baptisé caringde par ses racines anglo-saxonnes. C'est l'occasion d'émettre des hypothèses sur la féminisation des arthérapeutes et de revenir sur le récit d'un genre, contextualisé en arthérapie.