Fauve d'or - Meilleur album

L'Arabe du futur Tome 1
Une jeunesse au Moyen-Orient (1978-1984)

Par : Riad Sattouf

Formats :

Disponible d'occasion :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Disponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages158
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.536 kg
  • Dimensions17,3 cm × 24,2 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-37073-014-5
  • EAN9782370730145
  • Date de parution07/05/2014
  • CollectionImages
  • ÉditeurAllary

Résumé

Né d'un père syrien et d'une mère bretonne, Riad Sattouf grandit d'abord à Tripoli, en Libye, où son père vient d'être nommé professeur. Issu d'un milieu pauvre, féru de politique et obsédé par le panarabisme, Abdel-Razak Sattouf élève son fils Riad dans le culte des grands dictateurs arabes, symboles de modernité et de puissance virile. En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs.
Malmené par ses cousins (il est blond, cela n'aide pas...), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle. Son père, lui, n'a qu'une idée en tête : que son fils Riad aille à l'école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.
Né d'un père syrien et d'une mère bretonne, Riad Sattouf grandit d'abord à Tripoli, en Libye, où son père vient d'être nommé professeur. Issu d'un milieu pauvre, féru de politique et obsédé par le panarabisme, Abdel-Razak Sattouf élève son fils Riad dans le culte des grands dictateurs arabes, symboles de modernité et de puissance virile. En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs.
Malmené par ses cousins (il est blond, cela n'aide pas...), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle. Son père, lui, n'a qu'une idée en tête : que son fils Riad aille à l'école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.6/5
sur 8 notes dont 4 avis lecteurs
Prix du Meilleur Album Angoulême 2015
Un prix totalement justifié tant cet album est : -fin -drôle -touchant -instructif -visionnaire (oui TOUT ça, non je ne suis pas objective...) A lire, et à relire (vite!)
Un prix totalement justifié tant cet album est : -fin -drôle -touchant -instructif -visionnaire (oui TOUT ça, non je ne suis pas objective...) A lire, et à relire (vite!)
  • Libye
  • khadafi
Surpenant
La 4ème de couverture est un résumé concis et précis de ce roman graphique. Née d’une mère bretonne et blonde et d’un père libyen. Riad a hérité de la chevelure de sa mère. Le père de Riad, docteur en économie, obtient un poste de professeur à l’université de Tripoli et toute la petite famille s’embarque pour la Libye. A travers son récit, le petit blondinet montre les travers de la Libye et la Syrie. Les travers de son père qui est pétri de contradictions, de mauvaise foi. Pas facile de revenir à la réalité de son pays natal alors qu’il l’a idéalisé pendant ses études françaises. Des scènes cocasses comme tous ces gens qui lui caressent les cheveux (c’est encore vraiment actuellement). On apprend de En prenant le parti pris des souvenirs d’un très jeune enfant, l’auteur veut éviter l’écueil du dramatique tout en étant sérieux. Ce livre a le rythme de la BD où tout est circoncis en quelques plans ; tout est dit entre les mots et les images naïves. J’ai été décontenancée par la lecture de ce livre d’images. Je crois que j’aurais préféré un « vrai » livre ; On ne se refait pas, puis j’ai accepté le rythme et je l’ai apprécié. J’ai aimé le choc des mots et des images. Le retour du père en son pays n’est pas ce qu’il souhaitait, même s’il ne le dit pas. Je pense que les prochains tomes seront du même tonneau. Le retour au pays c’est de la réalité, le souhait d’y retourner un doux rêve.
La 4ème de couverture est un résumé concis et précis de ce roman graphique. Née d’une mère bretonne et blonde et d’un père libyen. Riad a hérité de la chevelure de sa mère. Le père de Riad, docteur en économie, obtient un poste de professeur à l’université de Tripoli et toute la petite famille s’embarque pour la Libye. A travers son récit, le petit blondinet montre les travers de la Libye et la Syrie. Les travers de son père qui est pétri de contradictions, de mauvaise foi. Pas facile de revenir à la réalité de son pays natal alors qu’il l’a idéalisé pendant ses études françaises. Des scènes cocasses comme tous ces gens qui lui caressent les cheveux (c’est encore vraiment actuellement). On apprend de En prenant le parti pris des souvenirs d’un très jeune enfant, l’auteur veut éviter l’écueil du dramatique tout en étant sérieux. Ce livre a le rythme de la BD où tout est circoncis en quelques plans ; tout est dit entre les mots et les images naïves. J’ai été décontenancée par la lecture de ce livre d’images. Je crois que j’aurais préféré un « vrai » livre ; On ne se refait pas, puis j’ai accepté le rythme et je l’ai apprécié. J’ai aimé le choc des mots et des images. Le retour du père en son pays n’est pas ce qu’il souhaitait, même s’il ne le dit pas. Je pense que les prochains tomes seront du même tonneau. Le retour au pays c’est de la réalité, le souhait d’y retourner un doux rêve.
Sujet original
Des histoires intéressantes ; un regard décale ; mais un manque de souffle et pas de véritable arc narratif
Des histoires intéressantes ; un regard décale ; mais un manque de souffle et pas de véritable arc narratif
13 à table !
4/5
3.4/5
Françoise Bourdin, Marina Carrère d'Encausse, Riad Sattouf
Poche
5,00 €