Cher Vous,
1918, la guerre est finie, l’armistice a été signé, Matteo et sa famille rentrent chez eux après trois ans d’absence.
Mais plus rien n’est comme avant, les cadavres sont encore là, tout n’est que décombre et misère. La réalité du conflit les frappe encore plus.
Mais la vie continue, il faut reconstruire, repartir à zéro, avec rien…
Il ne leur reste que la solidarité, la fraternité pour tenter de revivre.
Un beau roman, parfois alourdit par trop de détails géographiques, mais l’histoire est tel qu’on pardonne à l’auteur ces quelques lignes en trop par moment.
La guerre ne se termine pas lorsque l’on signe un armistice, mais lorsque l’on pense les plaies, que l’on commence à cicatriser.
Stanislas Petrosky
https://admin.canalblog.com/1179016/write/34958733
Cher Vous,
1918, la guerre est finie, l’armistice a été signé, Matteo et sa famille rentrent chez eux après trois ans d’absence.
Mais plus rien n’est comme avant, les cadavres sont encore là, tout n’est que décombre et misère. La réalité du conflit les frappe encore plus.
Mais la vie continue, il faut reconstruire, repartir à zéro, avec rien…
Il ne leur reste que la solidarité, la fraternité pour tenter de revivre.
Un beau roman, parfois alourdit par trop de détails géographiques, mais l’histoire est tel qu’on pardonne à l’auteur ces quelques lignes en trop par moment.
La guerre ne se termine pas lorsque l’on signe un armistice, mais lorsque l’on pense les plaies, que l’on commence à cicatriser.
Stanislas Petrosky
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