L'amour, l'amant, l'aimé. Cent ballades du "Divân"

Par : Hafez Shirazi
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  • Nombre de pages308
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.305 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,1 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-7427-1819-2
  • EAN9782742718191
  • Date de parution12/05/1998
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

Hâfez de Shirâz est, avec Omar Khayyâm, le père persan le plus célèbre, le plus aimé, le plus récité : même les illettrés en savent de longs fragments par cœur. Il est mort, voici un peu plus de six cents ans, en 1389, dans sa ville natale. Poète d'une époque où le persan était la lingua franca de l'Asie : Iran, Afghanistan, Inde musulmane, Mongolie et Chine, Hâfez a été célébré en Occident, dès 1819, par Goethe. Les traductions se sont multipliées depuis : en allemand, en anglais, en français surtout. Du recueil complet de son œuvre se détachent cinq cents poèmes ou ghazal dont cent ont été retenus ici, et traduits en vers français rythmés, rimés ou assonancés. C'est l'amour, charnel, idéal ou mystique, qui est au cœur de ces poèmes, représentatifs de la spiritualité de l'auteur, de sa vision du monde illusoire d'ici-bas, de sa notion du Temps-Destin. N'a-t-il pas écrit : " Celui-là ne mourra jamais, dont le cœur ne vit que d'amour. "
Hâfez de Shirâz est, avec Omar Khayyâm, le père persan le plus célèbre, le plus aimé, le plus récité : même les illettrés en savent de longs fragments par cœur. Il est mort, voici un peu plus de six cents ans, en 1389, dans sa ville natale. Poète d'une époque où le persan était la lingua franca de l'Asie : Iran, Afghanistan, Inde musulmane, Mongolie et Chine, Hâfez a été célébré en Occident, dès 1819, par Goethe. Les traductions se sont multipliées depuis : en allemand, en anglais, en français surtout. Du recueil complet de son œuvre se détachent cinq cents poèmes ou ghazal dont cent ont été retenus ici, et traduits en vers français rythmés, rimés ou assonancés. C'est l'amour, charnel, idéal ou mystique, qui est au cœur de ces poèmes, représentatifs de la spiritualité de l'auteur, de sa vision du monde illusoire d'ici-bas, de sa notion du Temps-Destin. N'a-t-il pas écrit : " Celui-là ne mourra jamais, dont le cœur ne vit que d'amour. "