Cher Vous,
Cela fait maintenant quelques années que Jacques Saussey s’est hissé au sommet du polar français... Il a su en quelques romans choisir les bons sujets, ceux qui font mal, Enfermée[e] en est la preuve flagrante, et les traiter correctement, sans sombrer dans le « pathos », avec une belle intrigue policière.
Cette fois encore il ne déroge pas aux règles qu’il s’est fixé.
Nul besoin de sortir de Saint Cyr pour comprendre de quoi parle ce nouvel ouvrage, il suffit de connaître un peu l’origine du titre de la chanson de Barbara que Jacques emprunte pour son livre... Il y a aussi le premier chapitre, les paroles…
Puis il y a l’enquêteur, un ex-flic avec du charisme, qui ne tombe pas dans le travers du flic alcoolique pourchassé par ses démons et un tueur en série. Non, Jacques est pourvu du talent nécessaire pour faire un vrai roman avec des personnages que l’on peut qualifier de normaux.
Mais ne parler que de pédophilie serait trop simple, il faut que Saussey fouille, mêle les sujets, les traditions, qu’il crée des rencontres pour le plus grand bonheur de son lectorat. Il transforme un petit bout de paradis en enfer sur terre, donne un arrière-goût de Meth à la vanille, te file des acouphènes avec le bruit du rotor de l’hélico, bref, il t’embarque dans son histoire.
Pour te résumer, L’aigle noir est un roman réussi, Saussey monte encore un barreau dans l’échelle de l’écriture et du talent !
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/02/25/39826376.html
Cher Vous,
Cela fait maintenant quelques années que Jacques Saussey s’est hissé au sommet du polar français... Il a su en quelques romans choisir les bons sujets, ceux qui font mal, Enfermée[e] en est la preuve flagrante, et les traiter correctement, sans sombrer dans le « pathos », avec une belle intrigue policière.
Cette fois encore il ne déroge pas aux règles qu’il s’est fixé.
Nul besoin de sortir de Saint Cyr pour comprendre de quoi parle ce nouvel ouvrage, il suffit de connaître un peu l’origine du titre de la chanson de Barbara que Jacques emprunte pour son livre... Il y a aussi le premier chapitre, les paroles…
Puis il y a l’enquêteur, un ex-flic avec du charisme, qui ne tombe pas dans le travers du flic alcoolique pourchassé par ses démons et un tueur en série. Non, Jacques est pourvu du talent nécessaire pour faire un vrai roman avec des personnages que l’on peut qualifier de normaux.
Mais ne parler que de pédophilie serait trop simple, il faut que Saussey fouille, mêle les sujets, les traditions, qu’il crée des rencontres pour le plus grand bonheur de son lectorat. Il transforme un petit bout de paradis en enfer sur terre, donne un arrière-goût de Meth à la vanille, te file des acouphènes avec le bruit du rotor de l’hélico, bref, il t’embarque dans son histoire.
Pour te résumer, L’aigle noir est un roman réussi, Saussey monte encore un barreau dans l’échelle de l’écriture et du talent !
Stanislas Petrosky
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/02/25/39826376.html