La présence en France, puis la disparition mystérieuse, du criminel de guerre nazi Joaquim Peiper alimentèrent la chronique de l'été 1976. Dans sa maison incendiée à l'écart du village de Traves, près de Vesoul, les gendarmes découvraient, au matin du 14 juillet, les restes d'un homme difficilement identifiable. Assassinat, suicide ou mise en scène : plusieurs mois durant, enquêteurs et journaux émirent toutes les hypothèses, sans véritable résultat.
La présence en France, puis la disparition mystérieuse, du criminel de guerre nazi Joaquim Peiper alimentèrent la chronique de l'été 1976. Dans sa maison incendiée à l'écart du village de Traves, près de Vesoul, les gendarmes découvraient, au matin du 14 juillet, les restes d'un homme difficilement identifiable. Assassinat, suicide ou mise en scène : plusieurs mois durant, enquêteurs et journaux émirent toutes les hypothèses, sans véritable résultat.